Le Manoir des Délices
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 Emeute dans Paris [Libre]

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Emeute dans Paris [Libre] _
MessageSujet: Emeute dans Paris [Libre]   Emeute dans Paris [Libre] EmptyJeu 7 Oct - 15:15

1770 Paris, il était midi à peu prés lorsque Dastan commença à entre voir les murs de Paris.
Il avait trop fait de route à son gout et à présent la fatigue était présente chez lui. Il avait traversé toute la Perse à cheval puis un bateau normand l’avait fait venir en France en Normandie. Il n’avait même pas compris que le bateau avait comme destination final le pays français. Son seul compagnon était le second de son armée Perse. Enfin armée était un grand mot, c’était une petite troupe de soldats que Dastan apprécier particulièrement. Bien sur il avait l’armée d’Alamut aussi mais ce n’était pas la même choses pour lui.

Le second se dénommée Iklaram et lui aussi semblait à bout de fatigue.Il avait comme Dastan de gros sacs d’objets perse dans un sac accrocher à sont dos. Iklaram était très bronzé de peau, il avait les cheveux frisés et était natif d’Orient. Dastan quand à lui était aussi bronzé de peau, il avait de long cheveux brun et une cape à capuche qui dissimulé le plus possible son visage. Le second de Dastan s’éxclama alors et demanda au à sont prince pourquoi tout leurs objets n’avait pus être envoyé de Perse à Paris plutôt que de les trainer à la mains eux même.

-"Pour la centième fois Iklaram, je t'ai dit de parler en français. Nous sommes en France et nous ne devons pas nous faire remarquer ! Et pour les objets, comment voulais-tu que l'on travaille sans rien à vendre sur nous ?"

Iklaram jura en langage Perse et Dastan le repris.
-"On dit merdasse en français! Ou..Catin je crois, ce terme est aussi employé pour les filles de joie parisienne retient le Iklaram...Na tu donc pas écouter les Français sur le bateau?"
-Je ne vois pas le rapport avec les filles de joie Prince Dastan lui répondit le second.
-"Moi non plus Iklaram mais fait ce que je te conseille..."

En effet les hommes du navire français avait appris quelques mots à Dastan et son second et les Perses avait passé la plupart du voyage à écouter les français pour essayer de parler comme eux. C’était sans conter sur Iklaram qui avait beaucoup de mal à parler français et qui continuer de s’exclamer en Perse. Dastan continua de marcher sur la route avant de croiser de plus en plus de parisien dans la ville. La première choses qui frappa Dastan fut la couleur de peau des français,tous était si clair et blanc de peau. Les Perses était si peu orthodoxe dans ce paysage que plusieurs visage se tournaient vers eux. Dastan espérait que sont second ne se ferait pas remarquer afin de ne pas leurs causer des ennuies à peine venue dans la ville française.
L’architecture de la ville était très différente de la Perse et Dastan avait du mal à marcher sur les pavés au sol qui était très peu ingénieux selon lui.

-"Iklaram ne touche pas ces pavés tu va nous faire remarquer!"

Mais ce fut trop tard, en effet plusieurs villageois c’était déjà rassemblé devant les perses. L’un d’eux les fixa fixement puis cria au autres.
-J’avais raison! Ce sont des Sarrasins!
Dastan releva alors la tête puis répondit à l’homme d’un français un peu confus.
-"Nous ne sommes pas des Sarrasins,nous venons juste du sud..."
-Regardez le deuxième! Le premier passe encore mais le petit a tout d’un Sarrasin! Repris un autre villageois.
Iklaram jusqu'à la silencieux répondit alors en Perse aux villageois qui huèrent de satisfaction avant de pointer leurs fourches vers les deux Perses.
-"Iklaram imbécile!" Cracha Dastan avant d’entre les villageois crier partout que des Sarrasins attaquer Paris.
-"Nous ne vous voulons aucun mal messieurs!" Repris Dastan avant de reculer devant la foule naissante. Il tenta alors de dire quelques choses que les français lui avait appris sur le navire en précisant qu'il devrait dire ceci lorsqu'il avait des ennuies:
-"Vous êtes tous moches et on a juste envie de prendre des...C'est quoi le terme déjà ha oui on veux juste des catins pour leurs montrer nos épées!"
Il afficha alors un sourire satisfait aux villageois car il avait réussie à se souvenirs de la phrase que les français lui avait dit de dire au cas il serait dans le pétrin. Les villageois regardèrent effaré Dastan avant que celui-ci ne comprenne qu'on c'était moqué de lui avec cette phrase.
-Ce sont des éclaireurs hurla une grosse femme à l’allure paysanne.

Le second de Dastan se mis alors à courir vers des ruelles de Paris inconnue pour les deux jeunes hommes. Plusieurs hommes les avaient suivit alors Dastan lâcha sont gros sac de bricoles puis attrapa une grosse épée Perse accroché à sa ceinture. Maintenant qu’ils étaient à l’abri des regards de tous il pourraient enfin se défendre. Iklaram l’imita et commença une lutte contre les français tout comme Dastan dont l’épée brisa plusieurs fourche. Plusieurs villageois prirent la fuite lorsque Iklaram se prépara à tuer un des hommes restant.

-"Non! Laisse le partir! Ne leurs donne pas raison...On est en France tu te souviens?"
Iklaram laissa alors partir le dernier villageois lorsqu’il demanda à Dastan que faire à présent dans la capitale de France.
-"Bien j’ai échangé pas mal de monnaie Perse en francs et je pense que nous avons assez pour acheter une maison. Mais avant allons manger dans un endroit discret je meurt de faim!"
Le second du prince l’approuva puis ajouta quelques mots.
-Et pour la fille?

Le prince savait de qui parler Iklaram, c’était hier soir alors que les deux perses buvait un verre entre Rouen et Paris dans un bar Dastan écouta une conversation qui l’intrigua...Deux hommes au comptoir bavarder sur les fesses d’une certaine Genièvre avant que l’un des deux n’évoquent sa visite d’un manoir ou à l’intérieur il aurait vue une fille superbe. C’était d’après lui une beauté endiablée, à la langue bien pendue et à la peau de miel. Mais ce n'est pas possible n'est-ce-pas? Ce ne peut être elle? Pourtant, la taille, les rondeurs que les poivrots décrivent avec tant de détails lui met la puce à l’oreille, le regard de la beauté, la couleur de sa peau, ses tâches de rousseurs, tout correspond à ce corps qu'il connaît par coeur. Serait-ce possible qu'il s'agisse de Tamina? Pourquoi l’avait t’il encore en tête pensa le perse. Qu’importe, il voulait savoir qui était cette fille désormais! Il demanda l’adresse au deux ivrognes et repris la route avec Iklaram qui lui conseilla d’oublié la princesse.

-Ce ne peut pas être elle Dastan,elle est morte!
-"Je le sais très bien! Mais je veux juste savoir de qui il s’agit! Nous passerons voir ce manoir lorsque nous auront le temps un point c’est tout! Allez viens trouvons une taverne ou un endroit discret pour mangé car avec toi c’est choses difficile."

Dastan se mis à rire lorsqu’il sentit quelqu’un dans son dos...
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Emeute dans Paris [Libre] _
MessageSujet: Re: Emeute dans Paris [Libre]   Emeute dans Paris [Libre] EmptyMar 2 Nov - 17:12

[HJ: Désolée de l'attente mais j'attendais une réponse à mon mp pour poster, je pars donc du principe que c'est bon pour toi ^^ Tendrement. ^^]


-Pardon ! Je suis désolée ! Veuillez m’excuser !

Jade se sentait perdue en ce milieu de journée, elle avait rendez-vous chez la couturière pour les robes qu’Aaron et elle avaient commandé. Son mari travaillant, elle avait donc du s’y rendre seule. Il lui avait pourtant expliqué comment fonctionnaient les rues, et comment elle devait faire pour se repérer. Le problème s’était qu’elle avait certes écouté chacun de ses propos, tenté d’en retenir le plus possible, mais lorsqu’il lui avait fait faire le tour de la ville il n’y avait pas autant de monde. La jeune mariée avait l’impression d’étouffer, bousculée entre des habitants qui lui demandaient un peu d’argent, d’autres qui tentaient de lui vendre de la marchandise plus ou moins fraîche. Elle avait décidément choisie son jour pour se rendre chez son couturier et le pire dans cette histoire, c’était que dans cette marrée de gens, elle n’était même pas certaine de pouvoir faire la route inverse et de pouvoir rentrer chez elle.

Elle avait été élevée en campagne, parmi des femmes qui prenaient toujours le temps de se faire des actes de courtoisie. Jamais un mot plus haut qu’un autre, jamais une bousculade volontaire. Des excuses et encore des excuses. Mais à Paris, dans la grande ville pavée, elle avait l’impression de se trouver dans un poulailler. Ca hurlait en tout sens, ça battait des ailes, ça piquait du bec parfois…

Elle sentait des gens la toucher, la bousculer, elle voyait des regards s’éterniser et impudiquement la déshabiller, des sourires et des haleines nauséabondes apparaissaient soudain devant son visage ne faisant que l’effrayer davantage. Elle se sentait tellement loin de chez elle, loin de son doux couvent. La peur s’immisçait lentement dans chacun des pores de sa peau, elle craignait les odeurs, le brouhaha régulier des talons qui claquent sur les pavés, les rires gras, les gens qui tournaient et s’éternisait autour d’elle. Elle sentait des regards, elle se retourna et vit deux hommes la regarder, sourire aux lèvres. Elle avait peur, elle ne savait rien des motivations de ces deux hommes, elle ne savait même pas si elle ne se faisait pas d’idée à leur propos, mais promettait au ciel de ne plus jamais sortir seule s’il lui donnait les moyens de se sortir de son enfer personnel.

Elle accéléra le pas, et par intermittence regarda devant elle. Son cœur battait à tout rompre. Elle bouscula à son tour des gens, s’excusant rapidement, elle aurait le temps de s’en excuser auprès du seigneur plus tard et plus longuement. Et soudain elle rentra littéralement dans quelqu’un. Elle venait de marcher sur le devant de ses longs jupons et venait de lui tomber dans les bras. Une exclamation de peur lui échappa, l’homme la rattrapa malgré tout de justesse à son grand soulagement, mais soudain elle vit l’épée de son ami pointer sur sa gorge.

Jade n’était qu’innocence, et rien qu’avec le caractère défensif des armes elle avait du mal. Alors en ce qui concernait cet objet brandit contre elle, elle n’était pas loin de s’évanouir de frayeur. Ses oreilles se mirent à bourdonner alors qu’elle regardait la lame appuyée contre sa chaire si fine. Son heure était-elle arrivée ?


*Je vous en prie seigneur ! Aaron… *

Songea-t-elle avant de reprendre d’une voix chevrotante !

-Par pitié ! Je vous en prie, je vous donnerais ma bourse si c’est ce que vous voulez, mais laissez-moi la vie ! Je vous en supplie, je ne voulais pas, j’avais peur, je n’ai pas vu que j’allais vous bousculer…

Ses paupières se gonflèrent de larmes alors qu’elle attendait que la sentence ne tombe.
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Emeute dans Paris [Libre]

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