Le Manoir des Délices
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 Aïe ! [Pv Aaron]

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Aïe ! [Pv Aaron] _
MessageSujet: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyMer 3 Nov - 21:38

Eleonor s’installa dans sa calèche comme presque tous les jours après avoir réglé les problèmes d’intendance chez elle. Elle s’était ensuite eclipsée pour aller s’occuper de ses oeuvres charitatives comme elle se plaisait à le dire. Elle souriait dans le balancement rythmé de celle ci. Après tout elle faisait dans le social non ? Donner du plaisir aux hommes était un acte de bienfaisance. Elle ne cherchait même pas à se trouver d’excuse, c’était ainsi, point barre.
Le cocher savait où il devait l’arrêter et il savait aussi à quelle heure il devait revenir la chercher. Elle n’allait pas descendre devant le manoir tout de même. Elle rabaissa la capuche de son manteau pour dissimuler son visage et fila vers la porte. Elle passa par la petite entrèe dont Amelia lui avait donné la clé et elle mit aussitôt son masque noir. C’était une spécificité qu’elle avait demandé, la seule chose sur laquelle elle ne pouvait déroger. Il était hors de question qu’elle soit reconnue en ces lieux. Elle alla donc voir Amélia en arrivant, déjà pour la prévenir qu’elle était là, mais aussi pour lui dire bonjour. Leur relation était spéciale, quasiment d’égale à égale, mais c’était tellement bizarre ce qu’elle faisait. Elle avait le gout de la luxure et du sexe dans la peau à présent qu’elle y avait gouté. Elle se pensait même nymphomane pour aimer cela mais comment être satisfaite quand chez soi on a un vieillard qui bande mou et vous dégoute au plus haut point en matière sexuelle. Pour le reste elle s’en accommodait et elle était heureuse mais physiquement il n’y avait aucune affinité entre eux malgré toutes les tentatives du marquis. Il avait bien remarqué que sa jeune femme était aussi froide qu’un iceberg avec lui. Comment aurait il pu se douter que dans les bras d’un autre elle devenait un volcan ?

- Bonjour Amélia, je suis là aujourd’hui; J’ai pu me libérer

et elle venait lui plaquer ses lèvres sur les siennes.

- J’ai envie de sexe aujourd’hui ! tu as des bons clients ?

et immanquablement Amélia lui répondait :

- Comme toujours ma chérie tu en as envie tout le temps. Je vais voir ce que je peux faire pour toi.

Et elles partaient dans un grand éclat de rire toutes les deux.

- Je vais me préparer. Comme d’habitude il faudra que je sois chez moi ce soir mais cela nous laisse du temps. J’ai un repas avec des invités mais cela devrait aller, j’ai laissé mes instructions. D’ailleurs quand me ferez vous le plaisir de venir ? Vous n’avez jamais rencontré mon mari, toi et Adrian, vous verriez pourquoi je suis toujours ici !

Je partais après une petite conversation dont la suite perdit son intérêt et j’allais vers la chambre des 1001 nuits. C’était une chambre chère, très chère même, mais pour une clientèle sélecte. J’espérais qu’Amélia allait m’envoyer un bel homme, jeune et dans la force de l’âge, qui allait me baiser comme un malade jusqu’à ce que je crie grâce. Je ne me faisais pas trop de soucis pour cela et elle savait mes préférences. C’était aussi tout son intérêt que le client soit satisfait car la réputation du manoir était en jeu avec chacune d’entre nous.

J’enlevais mon manteau, ainsi que ma robe.. J’étais déjà habillée comme j’avais envie dessous. Mes fins bas de soie étaient retenus par de jolis rubans rouges. De belles mules à talons à mes pieds me faisaient un beau galbe. Un jupon en tulle et broderie s’ouvrant totalement sur le devant d’une couleur beige et rouge me ceignait les hanches tandis que mon corset très serré me faisait une taille de guèpe, s’arrêtant juste sous les seins. En haut je portais une fine chemise de soie resserrée par un petit lacet tout autour dont je détachais la fermeture laissant entrevoir mon décolleté, tout ceci dans le but d’exciter l’imagination des futurs clients. Mon masque attirait toujours les hommes et à chaque fois ils voulaient que je l’enlève. Jamais cela ne s’était produit et cela n’arriverait jamais. J'y veillais à chaque instant et il en allait de ma réputation. Que se passerait il si jamais cela arrivait ? Je n'osais penser à cette éventualité terrible pour moi car la plupart du temps ceux qui venaient ici, venaient aussi dans mes salons et cotoyaient mon mari.
La chose amusante à laquelle je pensais, était probablement la satisfaction qu'ils en aurait tiré de se dire que dans l'après midi ils m'avaient fait jouir, si cela arrivait bien sur. Car dans ce métieur là aussi, il y avait beaucoup de faux semblants et il m'arrivait de devoir simuler à ma plus grande tristesse car moi ce que je voulais c'était de vibrer, sentir en moi la montée du plaisir et crier sous un orgasme démesuré.

J’étais installée à la coiffeuse, me regardant dans le miroir, tandis que je me brossais les cheveux doucement lorsque j’entendis frapper à la porte. Ah les affaires commençaient !

- Entrez !

Dis-je d’une voix claire et sure, sans arrêter de me coiffer mais fixant la porte dans le reflet. Qui allait entrer ? J’étais impatiente de le savoir. Amélia, et Adrian aussi car elle n'était pas la seule à m'envoyer des clients, connaissaient mes gouts en matière d’hommes et la plupart du temps j’étais comblée par leur choix. Alors brun ou blond ? J’optais pour brun cette fois ci. Pas plus de trente ans j’espère ! Et voilà mon imagination battait son plein. La première chose que je vis fut une main sur le battant. Une main aux doigts assez fins, grande de quelqu’un qui se soigne .....et jeune. Ca partait bien, vite la suite !!J'étais déjà toute émoustillée
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Aïe ! [Pv Aaron] _
MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyJeu 4 Nov - 23:50

Je sifflotais... Oui oui, il m’arrive de siffloter pour le simple plaisir de le faire. J’étais heureux et ma vie prenait un sens que je n’aurais jamais espéré pouvoir obtenir. Une épouse pour me combler à la maison, des amis sincères pour m’ajouter une touche colorée à ma vie et un travail plus que satisfaisant. Pouvait-on demander mieux? Surtout que le jeune homme trouvé par le plus pure des hasards lors de mon récent voyage en Angleterre venait de franchir la porte du manoir. Une autre proie qui amènerait de l’argent dans les poches de mes patrons et des sourires de bonheur sur les lèvres d’Amélia. J’adorais ce petit bout de femme et je m’amusais à la séduire au grand désespoir de son époux. Lord Adrian et moi n’étions pas des ennemis, mais une petite rivalité qui n’avait pas lieu d’être s’était installée entre nous. J’aimais Amélia, oui, mais pas comme lui pouvait l’aimer. C’était plutôt une solide amitié qui m’unissait à elle, rien de plus. Enfin, une amitié qui se terminait parfois sous les cris de jouissance, mais il faut bien se détendre de temps à autre non? Fait frémir le corps de cette belle Amélia revêtait du plaisir pur et simple et non d’un amour sans lendemain.

Tout ça pour dire que je sortais en ce moment même de son bureau avec, en bonus, un sourire angélique. Elle avait apprécié ma prise et son visage en disait long sur la suite. Pauvre petite proie… Cet homme allait vivre un moment magique qu’il n’oublierait pas de sitôt. Pour ma part, mon travail venait de prendre fin avec cette victime et je me régalais de ma victoire et regardant passer les jolies dames. Adosser au mur du couloir, près de l’entrée, mes yeux se délectaient de toutes ces beautés habillées de façon à plaire et à provoquer. Lorsque ma tendre amie Amélia posa son bras sur moi, c’est avec un grand sourire qu’elle fut accueillie. Elle venait me demander si passer une séance avec la dame au masque m’attirait encore. Surpris, parce que mon désir de jouer avec cette dame était omniprésent depuis un bon bout de temps, j’ai acquiescé. Je suis donc monté à l’étage d’un pas joyeux.

Trois petits coups à la porte… Un *entrer*, puis me voilà `l’intérieur. J’ai pris soin de refermer la porte avant de m’approcher de cette délicieuse tentatrice. Je me suis avancé vers cette femme lentement avant de poser ma main sur elle avec douceur. Une poupée de porcelaine qui tenait à garder le mystère après tout ce temps passé ici me rendait curieux et avide de gouter à ces mains expertes.

Dites-moi votre prix avant que mes sens n’oublient de vous payer. Je ne suis jamais très loin de ce manoir, mais aujourd’hui, c’est moi qui ai enfin mérité une séance en votre compagnie. C‘est un honneur que je n’oublierai pas de sitôt.

Mes mains glissèrent vers ces seins. Les effleurant avec envies, les palpant avec douceur, avant de remonter caressez ces épaules. Une fois que le prix demandé me fut connu, c’est avec un large sourire que je déposais le montant sur la coiffeuse, tout près de sa brosse. J’aurais payé deux fois la somme… Si seulement elle avait su à quel point son corps appelait à la luxure! Je lui ai donc proposé ma main pour l’aider à se lever avant de l’enlacer avec un peu trop de passion. J’étais certes le client, mais il ne m’arrivait que très rarement de m’emporter de cette façon. Mes mains glissaient dans son dos pour aller se poser sur ses fesses rebondies. Ma bouche embrassait son cou et se délectait de son gout si exquis.

Pardon à l’avance si mes gestes se font maladroits. Je vous désire depuis si longtemps que j’en perds mes bonnes manières. Vos mains combleront mon désir alors que votre corps satisfera ma faim.

D’une main j’ai rapidement soulevé sa jambe pour la déposer sur ma hanche. Glissant ensuite mes doigts le long de sa cuisse afin de lui offrir un peu de douceur malgré mon empressement. Sa taille fine, ces vêtements aguicheurs, ces gestes emplis de grâce, son maintien droit et fier. Il y avait dans cette jeune femme un fond de noblesse ou un petit quelque chose que la plupart des autres filles ne possédaient pas. Enfin, il me serait encore temps, un peu plus tard, pour trouver la raison de toute cette fierté qui émanait d’elle sans scrupule.

Alors… J’aurai droit à quoi ce soir?

Un sourire en coin, un regard pétillant de malice… Je me foutais bien de savoir si elle me réservait quelque chose de particulier ou s’il me faudrait mener la danse. Client ou pas, prendre le contrôle ne me dérangeait pas le moins du monde même si parfois un peu d’initiative féminine n’était pas de refus.

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Aïe ! [Pv Aaron] _
MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyVen 5 Nov - 12:09

Mes yeux ne quittaient pas la porte tandis que mécaniquement je me brossais sans voir le réel résultat. C’est à ce moment là que je reconnus la haute silhouette de l’homme qui entra. Bon sang ce que je n’aimais pas cela.Je le connaissais pour le cotoyer plus que régulièrement. Je connaissais même sa femme. Ce sentiment de mal à l’aise me compressait, à moins que ce ne soit mon corset trop serré, mais toujours est il que j’avais àchaque fois que cela arrivait, un peu de mal à me retrouver dans cette situation dangereuse mais ô combien excitante. J’oubliais vite mon malaise dès qu’il posa sa main sur moi et me demanda mon prix. La somme était coquette et il ne tiqua même pas en posant celle ci sur la coiffeuse. J’aurais pu lui demander bien plus je crois. En fait je me disais que quelle que soit la somme, il aurait donné. Il était manifeste qu’il se moquait de l’argent et qu’il était prêt à tout pour avoir une jolie femme entre ses bras. La payer était le plus simple et ainsi il n’avait aucune complication pour sa vie personnelle.Il n’aurait jamais une maitresse éconduite qui viendrait sonner à sa porte et provoquerait un cataclysme dans son couple.

Aaron McGraw était un homme magnifique et tout à fait à mon goût. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir me retrouver dans ses bras et gouter la volupté avec lui. L’idée me plaisait, m’emballait au delà de tout et ses mains qui vinrent m’effleurer les seins ne firent que confirmer mon état. Je posais ma brosse et je mis ma main dans la sienne en me retournant pour me lever. Il me caressait sensuellement, éveillant tous mes sens et je penchais la tête en arrière pour le laisser m’embrasser dans le cou lui laissant entrevoir mes seins par l’échancrure. Je ne doutais pas qu’il allait profiter du spectacle mais il me surprit en me levant la cuisse et je frémis lorsque ses doigts se posèrent sur la soie de mon bas et remontèrent sur ma peau nue. J’attendais qu’il aille plus haut,qu’il vienne me caresser plus intimement mais il du réussir à se controler. Sa volonté était encore presque intacte. J’allais me charger de lui faire oublier sa bienséance.

Je prenais la parole, non sans avoir modifié légèrement ma voix. En fait je parlais tout bas, presque un murmure pour lui répondre.

- Monseigneur, ne vous excusez pas. J’aime votre prétendue maladresse. Votre plaisir sera le mien et mon corps est tout à vous. Le vôtre est également le mien le temps que vous resterez dans cette chambre.
Pour cette première rencontre je ne peux qu’essayer de vous satisfaire, lorsque je connaitrais plus vos fantasmes cela sera encore mieux. Laissez vous faire et venez, j’ai tout mon après midi mais nous n’avons qu’une heure et je suis affamée.


Je me détachais de lui et le pris par la main pour l’entraîner vers le lit. Je le poussais d’une façon taquine pour qu’il s’assoit sur le rebord et je me mis à genoux pour détacher ses chaussures.
Les deux brodequins tombèrent sur le sol et je relevais les yeux. Mes mains remontèrent sur le tissu qui recouvrait ses cuisses et s’aventurèrent sur son entrejambe. Doucement elles passèrent, insistèrent sur la bosse, pour s’arrêter tandis que je me relevais.Je l’aidais à enlever son haut de chausse et je m’approchais un peu plus de lui pour ouvrir sa chemise. Mes mains glissèrent par l’entrebaillement et vinrent le caresser. Je posais mes paumes sur ses muscles durs, faisant glisser les manches, le laissant torse nu. Je me délectais de le voir dans cette tenue. Je n’avais pas imaginé qu’il était si bien bati lorsque je le voyais dans mes salons. Souvent il me prenait la main et la gardait plus longtemps qu’il n’aurait du lorsqu’il me faisait le baise main en arrivant. Il croisait mon regard et il insistait, me donnant un message que je ne comprenais que trop bien. Mais j’étais la duchesse, et il avait une fin de non recevoir. Ici, c’était tout à fait différent. Je pouvais enfin laisser libre cours à mon envie de le connaître mieux. Je glissais mon genou entre ses cuisses et je vins poser ma bouche sur sa poitrine. Je déposais des baisers en faisant des petites succions à chaque fois que je m’arrêtais. Mes lèvres taquinèrent un de ses tétons, je le suçotais, l’aspirais et le mordillais. Ma langue en faisant le tour, mon autre main le caressant et s’aventurant sous la ceinture. Je la détachais tandis que le long tissu se déroulait sous mes doigts.

- Est ce que cela vous satisfait Messire ? Souhaitez vous autre chose ? Je suis à votre disposition totale et prête à vous combler de la manière que vous le désirez. Je peux me faire chienne comme je peux être autoritaire. Profitez en

En léger sourire étirait mes lèvres tandis que je m’étais relevée pour le regarder en attendant sa réponse. Mes doigts ne restaient pas inactifs et je fis glisser mon long jupon le long de mes cuisses en me reculant. Je me mis de dos et tournais la tête malgré tout pour lui parler alors que j’essayais de défaire mes lacets.

- J’aurais besoin de votre aide, Messire. Vous plait il que je me déshabille entièrement ?


Mon corps était encore bien couvert et il ne pouvait pas voir grand chose à part le haut de mes cuisses et ma gorge légèrement ouverte. Souvent les hommes ne prenaient pas ce temps et je restais avec mon corset et mes autres vêtements. Ils étaient pressés de prendre leur plaisir et je m’en satisfaisais, mais parfois j’avais envie d’aller plus loin avec eux, mais le temps tournait et l’heure s’achevait rapidement.
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Aïe ! [Pv Aaron] _
MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyDim 7 Nov - 15:21

Huuum, me faire mener par une femme comme elle était divin. Je me suis laissé guider et je me prêtais au jeu avec joie. Maintenant assis sur le bord du lit, je ne pouvais me retenir de sourire en la regardant s’agenouiller devant moi. Ces doigts habiles ont détaché mes chausses avant de venir se poser contre mon torse sans hésitation. De longs frissons parcouraient ma peau sous ces caresses et je me languissais de pouvoir en faire autant. Mon état d’impatient empira lorsque sa bouche remplaça ces mains. La tiédeur de ces lèvres sur mon corps brulant m’embrouillait les sens. Mon souffle accélérait… Mon désir prenait de plus en plus d’ampleur et soufflerait un peu une fois libéré de sa prison de tissus.

Cependant, plus elle me parlait et moins j’arrivais à l’écouter. Ce petit sourire… Un sourire lorsqu’elle s’était agenouillée devant moi, me hantait sans retenue. Si je souhaitais autre chose? La voir nue? Bien sûr que je voulais la voir nue et pour les autres choses que je souhaitais, j’arriverais bien à les obtenir, mais… pourquoi je restais assis au lieu de l’aider à enlever quelques pelures de tissus? C’est donc avec mes pensées tournant à une vitesse vertigineuse que je me suis levé pour poser mes doigts sur ces frêles épaules. Tout en l’embrassant tendrement, je délassais son corset en me délectant du temps présent. Son odeur me rendait dingue alors que mes doigts finissaient de lui enlever son corset. Toujours son dos collé contre le mien, mes mains caressaient sa poitrine sans honte. J’aimais titiller le bout de ces seins, j’aimais les palper, les pétrir les dévorer du regard. Alors que ma bouche s’amusait dans son cou ou mordillait en douceur son oreille, mes mains continuaient leur découverte et descendaient lentement vers son intimité. Elles commencèrent par caresser ces cuisses, venaient effleurer son entre jambes lorsqu’une lumière aveugla mes souvenirs.

*Mais… Je deviens fou ma parole?*


D’un geste de la main, j’ai pris la dame au masque sous le bras avant de la plaquer un peu trop rudement contre le mur, juste à côté de la porte. Comment cela se fait-il que ce sourire ne m’est jamais interpellé avant aujourd’hui? C’était pourtant flagrant!!! Je côtoyais cette dame régulièrement… Elle venait chez moi avec son époux et vice versa… On se voyait lors de grande réception et discutait de tout et de rien. Si j’ai payé cet entretien pour obtenir d’elle cet aveu, alors je n’aurai pas tout perdu. C’est qu’elle devait bien se moquer de mon ignorance lors de nos rencontres en dehors de ce lieu. Cette seule pensée provoquait en moi une certaine colère.

Madame de Sandore?

Je venais de chuchoter ces quelques mots à son oreille. Mon corps plaqué au sien, ma peau encore frissonnante de ces caresses, je voulais savoir et j’allais obtenir satisfaction de ce côté-là. Tanpis si l’heure se change en minute, tanpis si je ne peux plus poser mes mains sur son corps envoutant.

Je crois que nous devons discuter et maintenant. Ma voix ne laissait aucune place à la contradiction. J’ai reconnu votre sourire, Madame… Vous devez bien rire sous votre masque en ce moment même. Le pire c’est que je vous désire encore et que je risque de sortir de cet échange en manque de chaleur puisque je vous ai démasquée.

J’ai donc lâché son bras pour reculer et reprendre place sur le lit. J’avais toujours eu un faible pour la Marquise de Saint Sandore, mais jamais je ne me serais permis de succomber à ces charmes en dehors de ces murs. Je jouais le jeu de la séduction à son maximum, je m’enivrais de ces sourires et de ces regards à double sens, comme j’avais envie de la prendre là et maintenant. Osera-t-elle se laisser porter par son envie malgré ma découverte? Osera-t-elle garder cet échange secret? Osera-t-elle s’abandonner dans mes bras le temps d’une jouissance et redevenir l’amie que j’appréciais tant? Perdu dans mes pensées, je me suis allongé sur le lit et je tentais de ne pas retourner à ces côtés pour terminer ce que je venais de commencer.

J’ai envie de vous Dame Eleonore… Que je vous ai démasqué ne changera rien de mon côté je vous en assure, car ce qui se passe entre ces murs reste entre ces murs. *De ma position sur le dos, je me suis tourné sur le côté afin de poser mon regard sur cette beauté.* Oserez-vous me rejoindre dans ce lit afin de terminer notre petit entretien?

Ma main caressait la place juste à côté de moi avec douceur. Mon sourire joueur et mes yeux brulant de désir quémandaient cette faveur. Bien sûr un refus de sa part me frustrerait à bien des égards, mais il me serait impossible de lui en vouloir. J’aurais pu profiter d’elle en gardant pour moi ma découverte, mais alors je m’en serais voulu de lui avoir volé son secret. Elle devait avoir une bonne raison pour agir ainsi et comme je connaissais aussi son époux, j’aurais probablement agi de la même façon.

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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyDim 7 Nov - 17:01

Je profitais de ses mains sur moi, de son corps collé contre le mien. J’étais toujours tendue vers lui, m’offrant à ses caresses et ses baisers. Ses lèvres étaient douces sur la peau de mon cou et m’enivraient plus qu’il n’aurait fallu. Je me laissais aller mais ce fut de courte durée. Je revins rapidement à la réalité lorsqu’il me saisit par le bras et me plaqua contre le mur brutalement. Je pensais qu’il avait envie d’un petit jeu sexuel pour pimenter les choses mais je fus soufflée lorsqu’il ouvrit la bouche pour me donner mon nom. J’étais blême sous mon masque tandis qu’il: me lâchait pour retourner vers le lit. Je n’avais pas pu sortir un seul mot de ma bouche. Ce que je redoutais depuis la première fois où j’étais venue ici venait de se produire : on m’avait reconnu ! Je ne pouvais pas en rester là. C’était impossible. Ma réputation était en jeu mais nier était peut être illusoire. Il était tellement sur de lui qu’il aurait été capable de m’arracher mon masque. Je ne savais plus quoi faire adossé au mur comme un insecte piqué sur un tableau pour être exposé à la vue de tous. Etait ce le destin qui allait m’arriver à présent que j’étais démasquée ?

Aaron McGraw m’avait toujours attirée. Lorsqu’il venait chez moi, nous avions toujours des appartés entre nous. Il y avait une tension bizarre lorsque nos regards se croisaient, mélange de désir bien que nos époux respectifs étaient pourtant présents, et de complicité ? C’était assez difficile à expliquer. Je l’avais toujours admiré et il me plaisait de flirter avec lui. Mon mari ? Que pouvait il dire ? J’étais toujours la respectable marquise et il ne se passait rien du tout. Je n’étais pas folle et jamais je n’aurais fait quelque chose qui puisse ternir la réputation de notre nom. Sa femme ? La douce Jade l’avait déjà comme époux. Je n’avais aucun remord à m’amuser avec lui en tout bien tout honneur. Cela n’allait pas plus loin, malheureusement, car dans le secret de ma chambre il en était tout autrement. Je pensais à mon mari et je me demandais pourquoi moi j’en avais eu un vieux comme lui et qui n’était pas capable de me satisfaire sexuellement tandis que cette gamine avait tout pour elle. Oui je devais être jalouse par certain côté. Dépitée je tapais un coup de poing dans mon oreiller et j’essayais de m’endormir en rêvant à des caresses très coquines que la morale aurait réprouvée.

Il me tentait à me faire signe de venir le rejoindre sur le lit. Je devais avoir l’air ridicule contre mon mur mais il m’avais estomaquée avec sa perspicacité. Je devais me resaisir et prendre une décision. Je le voyais dans cette tenue inhabituelle, à la portée de mes doigts, de mon désir. J’avais une furieuse envie de lui, d’être sienne. C’était l’occasion unique pour le faire et voilà qu’il fichait tout en l’air. Est ce que je pouvais lui faire confiance ? Il était mon ami, mais j’avais tout à perdre.

Enfin je me détachais de cette cloison et j’avançais lentement vers lui.


- Aaron McGraw vous n’êtes qu’un imbécile ! Ne pouviez vous pas vous taire ?!

J’avais repris ma voix normale. A quoi bon me cacher à présent ? Je jetais au sol mon masque qui ne me servait plus.

- Vous êtes trop perspicace, je vous connais trop, mais je vous jure que si jamais ceci sort d’entre ces murs vous êtes un homme mort malgré toute l’affection que j’éprouve pour vous. Jamais je ne pourrais laisser ternir ma réputation.

Je m’avançais pourtant vers le lit. Mon désir était trop grand à le voir étendu ainsi. Je sentais mes tempes battrent au rythme de mon coeur et je devais avoir les mains moites. Néanmoins je montais sur le lit à genoux faisant glisser ma chemise, dernier rempart de ma nudité, pour la laisser tomber sur le lit.

- Vous devez vous demander pourquoi je suis ici ? Pourquoi je fais la catin ? Je vous ai vu souvent ici ne l’oubliez pas, si jamais vous vous avisiez de dire quoi que ce soit sur ce qui se passe ici j’en ferais autant pour vous. Je n’aurais plus rien à perdre, souvenez vous en toujours. Si mon mariage est cassé, le votre le sera aussi.
Après si je suis ici c’est à cause de Pierre. Vous savez pertinemment qu’il est vieux et sexuellement je n’ai rien à attendre de lui. Moi je suis jeune et j’ai envie d’être dans les bras d’un homme dans la fleur de l’âge qui puisse me satisfaire. Je pense que vous pouvez le comprendre ? J’ai des envies qu’il ne pourrait satisfaire et comme je suis amie avec les Boldwin cela m’a donné l’occasion de pouvoir assouvir mes penchants.


J’avançais vers lui à genoux sur le lit et je posais ma main sur sa cuisse en remontant vers son entrejambe que je frottais à travers le tissu. Il était dur et ne pouvait cacher son érection. Le sourire qui m’avait trahi revint sur mes lèvres.

- Moi aussi j’ai envie de vous AAron McGraw, et ce depuis longtemps. Depuis le premier jour que je vous ai vu en fait. J’avais déjà envie de vous coincer entre mes cuisses et de vous sentir en moi, envie d’être vôtre. Je vous choque peut être ?

Ma main se glissa sous la ceinture que j’avais déjà enlevée et ouvrit le pantalon. Je saisis le membre directement dans ma main et j’effectuais un mouvement de va et vient.

- Vous tairez vous ? Je vous fais confiance et vous avez mon honneur entre vos mains. Moi j’ai votre sexe entre les miennes et si c’est le cas je vous en serais reconnaissante mais je serais aussi très gentille. Je pense qu’on pourrait s’entendre tous les deux au lit. Après lorsque nous nous recroiserons chez l’un ou l’autre, ce sera comme si rien ne s’était passé, mais nous saurons que ce n’est pas le cas. Oh bon sang j’ai envie de vous.

Je pris sa main et je lui posais entre mes cuisses pour qu’il sente l’effet qu’il me faisait. Il avait du être surpris de voir mon absence de pilosité. J’avais trouvé une femme dans les termes qui m’avait proposé une épilation à la cire d’abeille et elle avait été étonnée que je veuille enlever tous les poils de mon corps. J’étais donc complètement imberbe comme à mon premier jour ce qui ne manquait pas de surprendre les hommes mais c’était tellement agréable lorsqu’ils glissaient leur langue entre mes cuisses.

- Nous n’aurons jamais assez de temps pour étancher la soif que j’ai de vous depuis toutes ces années.
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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptySam 13 Nov - 21:00

Peut-être que ma façon d’amener les choses était un peu radicale, mais j’étais fait comme cela et je ne voulais changer pour rien au monde. La regarder poser le pour et le contre était enivrant. Il lui arrivait rarement d’être ainsi prise au dépourvu et je m’en régalais comme un idiot. Une petite victoire pour tous ces sourires à double sens échangé depuis notre première rencontre. Des sourires volés ici et là, mais que je tentais de masquer et de faire taire depuis la venue d’une épouse dans ma vie. Jade était tout pour moi et je craignais que cet échange non verbal avec la marquise de Saint-Sandore ne la blesse un jour ou l’autre.

- Aaron McGraw vous n’êtes qu’un imbécile! Ne pouviez-vous pas vous taire?!

L’envie de lui répondre que non d’une voix joueuse m’a traversé l’esprit, mais je me suis retenu pour ne pas m’attirer ces foudres. Par contre, ces menaces déclenchèrent en moi une envie sincère de lui prouver que sa non-confiance en moi me peinait. Bien que ma réputation de coureur n’était plus à faire, je ne m’abaisserais surement pas à salir quelqu’un que j’affectionne à ce point. C’était mal me connaitre que de me croire capable d’un tel affront. Mon regard trahissait-il cet affront? Il a dû se refroidir un peu malgré tout, mais c’était hélas hors de mon contrôle. Une froideur qui disparut probablement aussi vite qu’elle était venue lorsque ce corps divin en tout point se révéla complètement à moi. Ne pas être capable de me retenir, je la basculerais et la prendrait juste là, comme une catin, avant de repartir sans rien demander d’autre en retour. Je la voulais cette femme, elle allumait tant de désir que la délivrance deviendrait douloureuse. Le moment de pénétrer en elle n’était pas encore arrivé et c’est avec un grand sourire que j’écoutais maintenant ces explications, ces demandes et ces menaces.

*Ahhhh oui ma belle, serrez-moi entre vos cuisses, je ne demande que ça depuis si longtemps… *

Que dire de cette main que venait de trouver l’objet de plaisir? Tant de douceur et tant de désir refoulé lui donnaient déjà une dureté révélatrice. Ces mouvements de va et viens était succulent, je retenais mon souffle avant chaque descente. Je n’étais pas le seul à vouloir être satisfait si je me fiais à son entrejambe. Ma main, forcée de s’y trouver, goutait avec délice cette envie qui la ferait bientôt chavirer.

- Nous n’aurons jamais assez de temps pour étancher la soif que j’ai de vous depuis toutes ces années.

Elle ne pouvait pas mieux exprimer mes pensées. Ma main sur son intimité ajoutait de l’huile sur ce feu qui me brulait les entrailles et sans ajouter quoi que se soit, je la fis basculer sur le dos avant de reprendre le contrôle. C’était à mon tour de m’expliquer et qu’elle le veuille ou non, j’allais moi aussi mettre les points sur les I.

Premièrement, Jade sait que je ne suis pas fidèle alors vos menaces ne me touchent pas.

Tout en parlant, je caressais lentement son ventre avant de venir m’attarder sur ces seins. Doucement, je roulais ces tétons avec les bouts de mes doigts parfois avec douceur, d’autres fois avec plus de force.

Je ne dirai rien et que vous me croyiez capable de tout dévoiler me blesse. J’ai eu la chance de trouver une épouse qui me plait, je comprends que tous n’ont pas ce choix. Vous trompez Pierre? Et alors? N’oubliez pas que vous parlez à un rabatteur et qu’une grande partie des travailleurs et travailleuses de ce manoir se trouvent entre ces murs par ma faute. Cela fait-il de moi un homme à abattre? Je profite de la vie tout simplement et pourquoi je suis mal placé pour vous jeter la première pierre.

Sur ce, ma bouche vint avaler goulument le bout de l’un de ces seins afin de le sucer, mordiller, titiller à souhait, alors que ma main redescendait vers ce puits de plaisir qui ne demandait qu’à assouvir ces pulsions. D’abord les cuisses, puis le haut de son pubis, avant que ma main ne vienne écarter ces jambes que je maintenais jusqu’à maintenant très serrées entre les miennes. Du bout des doigts, je caressais sur lèvres déjà mouillées par l’excitation, effleurant à peine son bouton de plaisir déjà passablement gonflé. Je jouais avec ce corps en m’imprégnant de ces frissons et de ces gémissements. Lorsque je sentis enfin son souffle accélérer, l’un de mes doigts glissa en elle avec douceur. Alors que ma bouche ne pouvait se ressassiez de sa poitrine, mon doigt s’amusait à faire monter son désir un petit pas à a fois. Mon doigt effectuait de lents mouvements de vas et vient, goutant à la chaleur de son corps. Las de jouer, ma bouche descendait lentement vers cette zone que toute femme aimait se voir dévorer. Je me suis donc placé à califourchon sur ces jambes, les serrant encore une fois entre mes cuisses sans toutefois les restreindre de leur mouvement.

Toujours envie de me coincer entre vos cuisses? Toujours, envie de moi ma belle amie? En ce moment je possède plus entre mes mains que votre honneur… dois continuer?


Je ne voulais pas de réponse, je la voulais elle. C’est donc s’en attendre que ma bouche suça ce bouton de rose afin de la sentir frémir jusqu’à plus soif. Ne m’avait-elle pas dit que son corps me convoitait depuis déjà plusieurs années? J’allais donc lui offrir ce premier orgasme avec joie avant de me permettre de la posséder entièrement. Mes lèvres et ma bouche ne cesseraient qu’après avoir entendu ces premiers cris de jouissance. C’est dans cette perspective que mes 2 mains se posèrent de chacune de ces cuisses afin de les garder ouvertes. Elle était à ma merci, mais je gardais son antre pour la suite. Ce jus qui coulait me rendait fou de désir… Plus elle gémissait et plus ma langue tillait avec férocité et plus mes lèvres dévoraient et suçaient se bourgeon affamé.


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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyMar 23 Nov - 21:34

Passé le premier choc d’être reconnue, je n’avais pas perdu de temps et j’avais pris les choses en main, si on pouvait dire. Comme je le soupconnais, il était viril et avait de quoi contenter n’importe quelle femme, surement pour cela qu’il était rabatteur en ces lieux. Il était comme moi en fait, il avait tout ce qu’il voulait chez lui mais cela ne lui suffisait et avec son gout du risque il mettait en péril une vie prometteuse avec une femme jeune. Ce n’était pas moi qui le jugerais de ce point de vue là. J’étais mal placée pour le faire de toute façon.

Je vis que je l’avais blessé en le menaçant plus ou moins. j’essayais de me défendre tout bêtement. J’imagine le scandale si jamais il ouvrait la bouche pour dire ce que je faisais de mes après midi. Ce serait une catastrophe et ça il le savait.

Et puis je n’y tins plus. Depuis le temps que je le voyais il me fascinait et là je pouvais faire ce que je voulais de lui tout comme il pouvait en faire autant avec moi. Je n’aurais jamais une autre occasion comme celle ci et il fallait que je la saisisse. Il hantait mes nuit depuis trop longtemps et mon fantasme allait pouvoir se réaliser alors que jamais je n’aurais pu le penser. Je le voyais frémir sous mes doigts mais bien vite je me rendis compte qu’il voulait prendre les directives, et qu’il me bascula sur le dos.
Je faisais semblant d’être sa prisonnière tandis qu’il me parlait de Jade qui le savait infidèle. Ma main se posa sur sa nuque et je l’attirais à moi pour le fixer dans les yeux en lui murmurant :


- Si j’étais votre femme, jamais vous n’auriez le temps de m’être infidèle. Je vous ferais passer l’envie d’aller voir d’autres femmes en étant la plus experte et en vous faisant oublier toutes les autres qui n’auraient aucun intérêt. Je saurais vous satisfaire Aaron Mac Graw et vous en oublieriez ce qu’est une autre femme. Vous n’auriez qu’une envie avec moi : jouir le plus possible et en faire autant avec moi. Je vous........hmmmmmmmmmm

Il s’était déplacé, avait déscendu et Il avait sa bouche collée à mon sein, sa langue me titillant tant que je ne pus m’empêcher de laisser échapper un léger râle de plaisir. Je sentais sa main descendre sur mon ventre et j’attendais qu’il poursuive son avancée et la découverte de mon corps. Mon bassin se tendit vers sa main jusqu’à ce qu’il la glisse entre mes cuisses pour juger de l’effet qu’il me faisait. J’étais toute excitée et prête à le recevoir en moi. Depuis le temps je crois qu’il m’aurait prise debout contre le mur tout à l’heure que j’aurais déjà été prête et n’aurait demandé que cela. Il glissa un doigt en moi et déjà je me liquéfiais, en en demandant encore plus aussi lorsque ce fut sa bouche qui vint prendre le relais je ne pu m’empêcher de crier de plaisir devant cette montée de plaisir qu’il m’offrait. Ce fut si rapide que j’en fus stupéfaite. Parfois je devais simuler le plaisir, d’autre je mettais du temps à le trouver mais partir aussi vite ne m’était encore jamais arrivé. Comment pouvait il même penser que je lui aurais demandé d’arrêter ? J’en aurai été incapable.

- Aaron !! Encore plus envie oui ! J’ai envie que vous vous enfonciez en moi, de vous sentir frémir et qu’on partage la montée du plaisir ensemble. Venez !

Je me relevais légèrement et en m’asseyant j’investis de défaire sa chemise, je voulais aussi le sentir nu contre moi.

- Nous n’aurons peut être que cette fois pour nous connaître pleinement. Je n’ai pas envie de perdre de temps. Deshabillez vous que je vous caresse aussi à moins que vous n’ayez envie d’autre chose. Je n’oublie pas que vous avez payé après tout. Vous en aurez pour votre argent. ajoutais-je dans un sourire coquin et mutin.

- Et surement au délà. Je vous donnerais même l’envie qu’on se revoit ailleurs que dans nos domiciles respectifs. Quand vous me reverrez chez vous, vous songerez à ce que nous avons fait ici aujourd’hui. Vous penserez au moment où j’ai posé ma main sur votre poitrine, quand elle est descendue et a caressé votre sexe. Quand votre sexe est venu dans ma bouche et que je l’ai léché jusqu’à ce vous jouissiez.

J’éclatais de rire en voyant sa tête

- Oui je sais ce n’est pas encore fait ! Mais ça ne saurait tarder. Je ne vais pas vous laisser filer ainsi sans profiter honteusement de vous tout de même ! ce serait vraiment dommage. Allons déshabillez vous !

Je m’allongeais sur le lit en le regardant. Je m’amusais avec mon index, je le passais sur mes lèvres en le fixant sans le quitter des yeux et surveillant ses moindres faits et gestes. Lentement je descendis mon doigt sur mon mamelon dont je fis le tour puis ma main descendit de la même façon sur mon ventre, mon nombril et je le glissais entre mes cuisses ouvertes pour venir me caresser. Je le faisais intentionnellement pour le provoquer bien sur, mais aussi par plaisir, pour lui montrer que j’étais capable de tout et que j’avais envie de l’exciter à me regarder faire. J’avais envie qu’il n’en puisse plus de me voir comme cela mais qu’ensuite il vienne me prendre avec toute l’envie dont il serait capable.
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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptySam 27 Nov - 14:42

Je vous ferais passer l’envie d’aller voir d’autres femmes en étant la plus experte et en vous faisant oublier toutes les autres qui n’auraient aucun intérêt. Je saurais vous satisfaire Aaron McGraw et vous en oublieriez ce qu’est une autre femme.

Je n’étais vraiment pas certain du tout, mais la contredire ne servirait à rien pour le moment. J’aimais trop les femmes, toutes les femmes, pour me laisser de butiner ici et là dans mes temps libres. Chaque femme possède une saveur qui lui est propre et une magie que l’on ne peut pas retrouver dans les bras d’une autre. Même si… Je devais bien avouer que l’envie de la prendre et de satisfaire mes pulsions quand bon me semblait et autant de fois que je le désirais était vraiment à reconsidérer au moment ou son corps se contracta sous la jouissance. Son gout était spécialement délicieux et je la dévorais avec un plaisir non feint. Ces frissons ne me donnèrent même pas la satisfaction habituellement ressentie lorsque mes victimes gémissaient et criaient de plaisir. Je voulais la voir atteindre non pas un, mais plusieurs orgasmes avant de la libérer de mon emprise. Je voulais la savoir satisfaite et repue de jouissance au point qu’elle voudrait recommencer l’expérience encore et encore, et ce, de son plein gré.

A sa demande, je me déshabillais donc en pensant à ces paroles invitantes. Elle avait envie que je m’enfonce en elle, que je la prenne. Ce n’était pas tomber dans les oreilles d’un sourd et j’allais me faire plaisir à la défoncer de mon pieu. J’allais en avoir pour mon argent et encore plus, puisque je connaissais maintenant son secret. Non non je n’aillais quand même pas en profiter pour lui faire du chantage, mais lorsque mon envie de la sentir vibrer sous mes doigts sera trop difficile à supporter, je savais maintenant ou la trouver pour satisfaire mes envies. Tout en me déshabillant, je buvais ces paroles et ne put m’empêcher de joindre mon rire au sien.

Je ne serai pas le seul à penser à cette petite escapade ma tendre amie… Vous finirez par me voir dans vos rêves et vous me supplierez de vous prendre sur le coin d’une table ou caché dans un buisson.


Alors que je finissais de me déshabiller, son petit jeu enhardissait mon envie. J’enviais ce doigt qu’elle laissait glisser sur sa peau, de sa poitrine vers son ventre et ensuite vers son antre humide. Le regarder ce caresser et y prendre plaisir consistait en un défi de retenue pour un homme quoi moi. J’aimais voir les femmes prendre leur pied, mais sous mon contrôle et non sous le leur. Mes yeux ne pouvaient toucher et j’étais au supplice total. Par contre, à regarder une femme s’auto suffire, je pouvais savourer chacun de ces gémissements et ainsi m’imprégner totalement de sa jouissance. Je l’ai donc laissé jouer avec son propre corps un moment avant de finir par flancher son mon désir. En effet, je n’en pouvais plus de ces jeux à faire pâlir le plus sage de tous les hommes. Je me suis approché du lit avec un sourire pervers sur les lèvres puis j’ai tiré, sans grande douceur, sur ces deux chevilles afin d’attirer son bassin vers moi. Debout sur le côté du lit, j’ai enroulé ces jambes autour de mes hanches et sans attendre je lui ai enfoncé ma lance dure et gorgée d’un seul coup de rein. Un gémissement quitta ma bouche alors que ma tête tombait vers l’arrière. Sa moiteur allait me délivrer de toute cette tension et ce désir que j’avais envers elle depuis si longtemps. Quelques coups et ma bouche retrouva sa place en venant lécher et mordiller son mamelon durci par son désir. Je la dévorais tout en enfonçant toujours plus profondément mon membre en elle. Des vs et viens lent et ample qui s’attardaient parfois au fond et parfois a l’entrée dépendamment des mouvements de la belle. Je me concentrais maintenant plus sur son plaisir que le mien, sachant que mon tout viendrait bien assez tôt.

Ressentant le corps de la marquise ondulait de plus en plus vite, cherchant à me donner un rythme plus accéléré, j’e l’ai soulevée avec tendresse avant de me retourner afin de prendre place assise sur le lit. Elle dessus et moi dessous. À elle maintenant de suivre ces élans et ces envies. Mes bras la soutenaient encore alors que ma bouche cherchait la sienne avec fougue. Mon bassin ondulait un peu, question de ne pas perdre l’acquis. Mon désir cognait au fond de son intimité avec douceur alors que chaque mouvement allait chercher un nouveau gémissement de l’intérieur de mes entrailles.

Douce marquise… retenez-moi pour ne pas vous violer comme une bête affamée. Retenez mes pulsions ou je ne réponds plus de mes actes.

Rien ne représentait plus la réalité que ces quelques mots. J’avais envie de la prendre avec dureté, de m’enfoncer en elle en ne pensant qu’à moi. Une bête sauvage trop longtemps privée de ces instincts. Je me serais bien comparé à un jeune coq qui allait vivre sa première expérience du genre, mais des seules quelques années d’expérience me séparaient de ce stade.




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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptySam 1 Jan - 17:00

Je le regardais se dévêtir, me dévoiler sa peau, ses muscles, son physique de rêve que tout mâle aurait aimé avoir. Il était beau, et même au delà des simples mots et ça me faisait toujours craquer. J’étais insatiable sur la beauté masculine. Des yeux clairs me faisaient chavirer plus surement qu’un porte feuille bien rempli. J’étais impatiente de le toucher, le sentir mais pour l’instant, devançant ce contact, je me caressais devant lui. J’avais envie de l’exciter encore plus et qu’il s’imagine remplacer mon doigt par sa langue, les siens ou son sexe.

- Me prendre sur le coin d’une table ? Ou dans un buisson ? hmmmmmmmm, l’idée est plus que séduisante. Je vous imagine bien allez nous promener dans les jardins et s’isoler tandis que les autres continuent leur promenade. Je vous entrainerais dans les écuries, dans la paille fraîche et vous pourriez me trousser comme la dernière des ribaudes.

Il me regardait faire, mes doigts s’enhardissaient et j’en glissais plusieurs dans mon intimité en me satisfaisant toute seule. Je gémissais et ça m’exictait de le faire ainsi devant lui. Je portais pourtant mes doigts à ma bouche et les suçais en le fixant. S’il ne comprenait pas l’allusion directe, il n’était pas homme. Ah, enfin, il bouge...Il se dirige vers moi pour me saisir les chevilles.

- Hummmm...vous voici enfin messire ? Vous êtes endurant ! Vous n’en n’avez pourtant pas besoin pour vous exciter davantage par rapport à ce que je vois de vous. mmmmmmmmmmm...ouiii

Il venait de s’enfoncer directement en moi. Pas de préparation, nous n’en n’avions pas besoin dans l’était où nous étions tous deux, mais nous avions un besoin commun de s’unir. Mon bassin bougeait à son rythme, j’avais tellement envie de lui que ça en devenait douloureux et il fallait qu’il fasse presque preuve de brutalité pour me combler et me faire sentir femme entre ses bras. J’étais pire qu’une sauvage et je ne me retenais pas de lui prouver bruyamment. Il me souleva avant de m’assoir sur ses genoux.

- Déjà fatigué mon tout beau ? Pourtant ce que je sens en moi me prouve le contraire. Je vais lui faire vivre des moments chauds.

Je me penchais légèrement en avant et vins coller mes lèvres aux siennes tandis que je commençais à bouger mon bassin de plus en plus vite. Dans cette position il était au fond de moi et je me plaisais à me soulever pour le sortir presque entièrement et le forcer ensuite à s’enfoncer en moi ensuite. Que demander de plus ? Ce petit manège dura un certain temps.

- Comme si j’allais vous retenir Messire ! Violer moi comme vous en avez envie. Vous devriez en profiter puisque nous en avons envie autant l’un que l’autre. Depuis le temps qu’on se connait, ce n’est que la suite logique de notre attirance mutuelle. Je n’ai pas envie que vous reteniez vos pulsions....maiisss...plutot envie....que vous …...mmmmmmm....les assouvissiez.....vitttttteeee........très viteee......et que vous vous lachiez. Ne vous retennnnnnnnezzzzzzzzz passsss.

Punaise je n’arrivais plus à me contrôler. Je me laissais emporter par mon envie de jouissance et c’est à ce moment là que mon premier orgasme arriva tandis que je me contractais au dessus de lui en râlant de plaisir. J’étais comme foudroyée et empâlée. Que demander de plus comme punition ? J’en voulais encore d’autres comme cela. Mon regard devint vague probablement avant que je ne redescende sur terre pour l’embrasser avec avidité totalement décontractée.

- Aaron ? j’ai envie de vous encore, et encore alors prouvez moi que vous aussi. Allez y ! Ne répondez plus de vos actes, il n’y a que vous et moi ici et rien ne sortira de cette chambre. Baisons comme des malades, et n’oublions pas.Ne puis-je m’empêcher d’ajouter.

- Tenté ? Je suis à votre entière disposition.

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MessageSujet: Re: Aïe ! [Pv Aaron]   Aïe ! [Pv Aaron] EmptyVen 7 Jan - 14:54



La vilaine… En plus de tout contrôler, elle prenait plaisir à me torturer! Je devais lever mon bassin afin de pouvoir jouir de la chaleur de son intimité et ça, ce n’est pas du jeu. Me frustrer ainsi et ensuite me demander d’agir en bête, c’est qu’elle me cherche et me veut homme ou alors je n’y comprends rien aux femmes. À moins que… L’excitation, de jouer avec moi lui a fait perdre le contrôle et c’est avec une grande joie que j’ai laissé son orgasme faire gonfler mon membre jusqu’à son apogée. Ces râles, ces frissons et ces tremblements ont fait de moi un homme comblé. Son baiser empli de douceur en disait long sur la vague qui venait de la terrasser. Je l’ai laissé prendre la parole la première et croyez-le ou non, celles-ci ne m’ont pas surpris.

- Tenté ? Je suis à votre entière disposition.

Un sourcil se leva de lui-même alors que de mes bras je la soulève pour la faire pivoter sur le lit. Je la tourne sur le ventre, les pieds au sol et j’écarte ces jambes sans grande douceur.

Ne bouge pas, je reviens!

Je me dirige donc vers une commode que je sais contenir les objets que je recherche et je reviens vers la marquise un sourire ravi sur les lèvres. Je lui prends les deux mains et je les tire au dessus de sa tête avant de les attacher au montant du lit. Elle ne pourra pas se retourner et elle ne pourra pas non plus utiliser ces mains pour mettre fin au supplice que je comptais bien lui faire subir. Me voilà donc revenu derrière elle. Mes lèvres se posèrent sur la peau de son dos alors que mes doigts se frayèrent un chemin vers son intimité. Du bout des doigts, je suis venu titiller son bourgeon avec douceur puis avec plus d’assurance jusqu'à ce qu’il soit de nouveau gonflé de plaisir. Mes doigts ont alors glissé entre les deux lèvres pour venir titiller le petit anneau. Déjà mouillé grâce à toi, j’ai poussé l’audace de faire entrer l’un de mes doigts à l’intérieur. Des petits va et viens pour préparer cet endroit plutôt étroit à ce qui allait bientôt y entrer. J’y ai doucement introduit mon membre déjà durci par les longs préliminaires subit et dans des mouvements amples et lents, j’ai commencé ce qui allait être notre dernière ligne droite. Alors que l’une de mes mains joue avec son clitoris gonflé, mon autre main caresse sa peau ou entre et sort de son antre humide au rythme de ces gémissements. Je la sens sur le bord de l’extase et mon désir la suivra de près. J’accélère le rythme, j’amplifie mes mouvements et la tenant maintenant par les hanches, je laisse un long râle quitter ma bouche lorsque la jouissance explose tel un volcan. Je continue de vider ma semence en elle avant de me retirer encore frémissant et aussi assoiffé. Je la détache sans tarder et me glisse à ces côtés, la respiration encore haletante.

Tu préfères la façon douce ou la forte?

Je rigole doucement et lui offre mon plus beau sourire. Je me doute bien qu’elle y a trouvé son plaisir vu les sons produits qui s’unissaient aux miens.
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