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 Les tribulations de Malandry

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Les tribulations de Malandry _
MessageSujet: Les tribulations de Malandry   Les tribulations de Malandry EmptyVen 15 Jan - 0:41










Malandry
Bienfaiteur hors la loi

Surnoms: Landry le malandrin / Malandry
Groupe: Habitants
Nationalité: français
Date de naissance: pendant la venaison de l'an de grace 1743
Situation Amoureuse: Célibataire
Disonibilité Rp:libre comme l'oiseau

HISTOIRE



La Balade de Landry le malandrin
Landry Argon naquit en tant que premier fils d’une famille de six enfants. Quatre garçons, deux filles.  Ses parents n’étaient que de serviles besogneux trimant de leurs bras dans les cultures des terres ducales pour un salaire de misère. Les enfants étaient bien évidemment eux aussi mis à contribution. Mais pas toujours de la manière la plus honnête qui soit. Que voulez-vous il faut bien manger pour vivre ! Alors le petit Landry apprit très tôt a jouer la comédie pour tenter d’apitoyer les riches sur sa triste condition. Mais si cela n’aboutissait pas, il restait toujours le larcin et la rapine. Et à ce petit jeu là, Landry était très fort.


Ainsi le jeune garçon aborda-t-il la préadolescence, livré lui et sa famille à une précarité flirtant avec une criminalité contrainte et nécessaire. Son tempérament indomptable et farouche le poussa dans des bagarres de rue entre mioches crasseux pour une poignée de pain. Ce qui était une mauvaise habitude finit par devenir une grand capacité de résistance au dénuement. Bien que cela reste toujours aussi douloureux à vivre.


Toutes ces années à manquer et à en souffrir aussi bien mentalement que physiquement encouragea le tout jeune homme à s’extraire de cette vie ingrate pour entrer au service de l’armée du Roi. Apres tout se disait il - les fantassins sont gras et bien heureux. Pourquoi n’y aurai-je pas droit moi aussi ? - …


Ainsi Landry passa-t-il cinq longues années à se tenir au rang et à y obéir courageusement. Mais plus le temps passait, moins il percevait le bien-fondé et la raison des ordres qui lui étaient bien trop souvent donnés par des calculs machiavéliques et dénués de bonté. Le jeune militaire ne put se résoudre à accepter de devenir le bourreau de ceux qu’il voulait défendre et dont il était issu. Il fut hors de question pour lui d’accepter de charger et empaler une troupe de paysans venus demander légitime réparation pour un préjudice causé une fois encore par un seigneur ou quelques autres affameurs emperruqués.

Landry ôta l’uniforme et quitta donc le girond de l’armée royale avec une poignée d’autres déserteurs puis s’enfoncèrent dans l’anonymat de l'arrière pays. Une telle désertion occasionna le déploiement d'une colonne d'infanterie qui battit en vain la campagne quelques semaines pour les retrouver. La mort attendait alors ceux qui se feraient prendre.La chance dut sourire à Landry et ses acolytes qui passèrent entre les mailles des filets.
Mais  il fallait bien subvenir à ses besoins les plus élémentaires. Landry reprit donc ce qu’il savait faire de mieux. Voler et tourmenter les riches.
Conscient et témoin du délabrement des conditions de « survie » des plus faibles, Landry prit la décision de former une compagnie de pauvres bougres désargentés comme lui  qu’il entraîna aux arts de la guerre et à monter des embuscades pour attaquer les convois de collecte destinés aux châteaux des terres voisines et en redistribuer la totalité aux pauvres gens qui en étaient si injustement destitués.

Au bout de quelques mois, le nom de Landry le Malandrin se changea en « Malandry », son véritable nom de famille étant été noyé par les rumeurs et les racontars qui couraient à son sujet. Mais sa notoriété auprès des plus démunis grandit encore.
Bien sûr le baillis et ses sbires concentrèrent leurs recherches pour lui mettre la main dessus et le faire condamner au rouet en place publique …

Mais alors que le piège semblait se refermer sur lui, Malandry et sa bande disparurent. Purement et simplement. Il n’y avait plus d’attaque de convois. Plus de rapine ni d’effraction notoires dans la région.  Ni donc plus de généreux donateurs pour les crèves la dalle… Les bandits s’en étaient allés jusqu’aux frontières orientales du royaume de France, accomplir de lucratives tractations contrebandières avec des collaborateurs et complices venus d’outre Rhin. Cette période de jeu du chat et de la sourie avec les forces douanières et frontalières offrit à Malandry et sa bande, de fiables contacts dans un réseau de marcandiers importateurs des denrées rares et forts appréciées au royaume de France. Le brigand détrousseur de riche, diversifia ainsi ses activités pour ajouter celle d’approvisionneur discret à des tarifs défiants toutes concurrences.
Il était donc temps de faire fructifier ses investissements en proposant sous le manteau leur acquisition. Les espèces sonnantes et trébuchantes qu’il en tirerait servirait à maintenir à flot son organisation et bien sûr à être partagées avec les plus nécessiteux.

Ainsi,Jannette, La femme d’Yves Destres, l’un de ses plus fidèles acolytes, , était depuis peu employée dans le Manoir Boldwin en tant que petite bonne journalière. La discrète mais zélée ménagère ne manqua pas de tendre l’oreille sur ce qui pouvait se dire entre ces murs. Et de fil en aiguille, il vint à celles de Landry que le Manoir pourrait bien être client des produits qu’il avait en réserve et qu’il désirait écouler. A savoir, du tabac venu des Amériques, des spiritueux de luxe, des cosmétiques et des onguents orientaux ainsi que quelques malles d’étoffes exotiques probablement venues des Indes.  Il ne restait plus pour Landry qu’a s’assurer que cette maison de luxe et luxure ne soit pas une passerelle de délation qui le mènerait à l’échafaud. Mieux valait être prudent, surtout quand on est aussi recherché que lui.

Malandry se rendit donc un soir au Manoir pour s’en faire son propre avis. S’il s’avère que les lieux et les gérants soient dignes de confiance, il ne manquerait pas de leur faire quelques propositions commerciales qui pouvaient trouver paiement de bien des manières … surtout pour un bandit aimant particulièrement la douce compagnie de la gente féminine.  


















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Après avoir conclu un lucratif accord commercial avec Amélia Boldwin, je m'autorise la dégustation d'une des filles du Manoir.. la première a vrai dire . et non des moindre. Cette rousse là me plut au premier regard. Allons faire connaissance ma belle .. et bien diverses manières ...



Malandry et une partie de sa bande prenne en embuscade une voiture particulière et son escorte. Une fois les défenses éradiquées, Malandry rencontre Ellena Montclair, unique passagère du véhicule [à suivre]



Malandry vient en aide à Louison la renarde, aux prises avec deux hommes de mains du Baillis Rabier..

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