Alan était venu au Manoir après une de ces réceptions qui le voyaient si souvent bien figurer dans la haute société parisienne. Il savait éblouir l'auditoire, aussi bien féminin que masculin, avec ce charme qui lui attirait les bonnes grâces de tous. Il était passionnant pour parler économie ou politique avec ses pairs, plein d'esprit pour ces dames. Et combien auraient voulu trouver en lui leur futur gendre. Car il était toujours, depuis plusieurs années maintenant, le veuf éploré et inconsolable. C'était le côté lumière du personnage. Lorsqu'il était ressorti de la somptueuse demeure où il avait diné, le banquier s'était plongé dans la nuit et était retourné à l'ombre et à la noirceur qui lui allait si bien quand il n'était pas en société. Qui aurait pu soupçonné ces deux facettes du personnage, le double jeu qu'il se faisait un plaisir de pratiquer.

En arrivant au manoir, il avait rencontré Amelia, celle qui hantait régulièrement son esprit et hatisait si facilement le feu de son corps. Mais ce soir il n'aurait pas l'occasion de trouver avec elle un exutoir à ses tourments. Adrian n'était pas loin même s'il n'avait pas eu l'occasion de le voir. Et il fallait à Allan quelque chose de fort et de violent pour exorciser ses vieux démons, oublier cette nuit funeste et le souvenir de cette épouse infidèle, de celle qui l'avait trahi et l'avait payé de sa vie. Et lui ne cessait de faire payer aux catins du manoir et à toutes les femmes de la nuit la trahison et l'humiliation que son épouse lui avait infligées. Seule Amelia trouvait grace à ses yeux.

Ce soir il avait choisi la chambre "Crimes et Chatiments", celle où il pouvait se permettre des relations particulièrement perverses et violentes. Il y trouvait tous les équipements qu'il pouvait souhaiter et les murs épais et bien capitonnés étouffaient les cris si ses pulsions le menaient trop loin. Quand il avait exprimé son choix à Amelia elle avait lu dans son regard une forme d'ivresse, à l'instant où, loin de toute réserve, il s'était senti libre d'exprimer tout ce qu'il attendait de cette soirée. Il lui avait dit le choix de la fille avec laquelle il voulait passer cette soirée, Ambroisie, une de celle que les Boldwin appelait "les délicieuses", catins déjà expérimentées et qui rapportaient gros au couple de propriétaires. Elles avaient un statut à part pour cette raison, étant chouchoutées pour ce qu'elles pouvaient gagner.

Alan était donc entré dans la chambre désiré et s'était tranquillement installé dans un grand fauteuil situé dans un angle de la pièce, d'où il pouvait voir la porte d'entrée. Le mobilier, comme dans toutes les chambres du manoir était de grande qualité, chaque pièce ayant son style. mais celle-ci avait un côté que le banquier trouvait des plus sympathiques, bien que ce ne fut pas forcément l'appréciation de toutes les filles venant ici avec un client du manoir. Chaines, fouets de diverses tailles, menottes, baillons et autres accessoires tout aussi excitants peuplaient le lieu, parfois bien en vue, posés sur une table ou sur le chevet ou plantés dans un vase ou laissés tout simplement sur le sol, parfois cachés dans le tiroir d'une commode ou derrière la porte d'une armoire.

Il se frottait le menton en envisageant ce qu'il allait pouvoir faire durant cette soirée, un petit sourire aux coins des lèvres, lorsque la porte de la chambre s'ouvrit. Une jeune femme à la chevelure d'un noir aussi sombre que la nuit parut. Il l'avait déjà vueune fois mais jamais dans ce décor et ce qu'il avait envie de faire ce soir avec elle n'avait rien de comparable avec leur première rencontre. Il admira la peau laiteuse dont il imagina avec une joie intérieure assez vicieuse ce qu'elle pourrait donner dans quelques heures.

"Entrez donc ma chère ... vous êtes très en beauté ce soir. Avancez-vous que je vous voie un peu mieux encore à la lumière de ces candélabres..."

Une lumière discrète brillait dans la pièce, éclairée en effet par quelques candélabres répartis en plusieurs endroits de la chambre. Il se leva pour aller refermer la porte, tournant la clé avec un certain détachement. Il tourna autour de la jeune femme, digne des meilleurs hôtesses que l'on pouvait trouver au Manoir.

Je suis belle n'est pas? En tous cas moi je me trouve splendide, oui je sais cela fait un peu narcissique... Mais bon mon corps est t'elle que je le veux, et ma peau blanche fait des envieuses même dans la bonne société, ou il est de bon ton d'être le plus pâle possible... et moi j'arrive a ce résulta sans presque d'artifices... Bien bien est-ce que se bain arrive...

Soupirant le corps nus, elle se tourna vers la porte, il était déjà tard et elle devait se dépêcher, dieu qu'elle détestait qu'on la pousse comme cela. Heureusement la porte s'ouvrit sur un jeune homme , l'un des employer de la maison qui portait deux grande bassin d'eaux, il était suivit de deux jeunes filles qui elle aussi portait de l'eau, parfait elle allait enfin pouvoir se débarrasser de la crasse qui couvrait son corps.

D'un œil elle regard les serviteurs verser l'eau avant de les faire sortir d'un geste, ordonnant juste a une des jeunes filles de rester.. Bien oui elle avait besoin de quelqu'un pour lui laver le dos... Le bain était quelque chose qu'elle adorait, l'eau qui coule sur son corps, le savon de bain précieux qu'elle achetait a l'une de ces amies. Qu'elle purent plaisir que de sentir bon comme cela, elle aimait l'odeur de lys qu'elle avait choisit.. Tranquillement sortir de l'eau... Et laissez la jeune femme sécher son corps... Pour tout dire notre amie adorait qu'on prenne soin d'elle.. Bien que chaque fois que la jeune femme faisait une erreurs elle se prenait une gifle.

Laissez ces cheveux sombre couler sur son dos, sans les attacher, juste les coiffer longuement.. Bien le plus dure a présent... Choisir la robe qu'elle allait mettre.. Déjà elle passa un corset rouge sang, un corset qui mettait son corps en valeur, avec un petit sourire elle passa une jupe rouge un peu étrange, en fait ce n'était qu'un jupon presque transparent qui dévoilait ces jambe bien plus que la décence ne le permettait... Un instant se regarder dans le miroirs avec ces bas noir signe de luxure d'après certain et ces petit chaussure a talons, elle se sentait prêtes a jouer avec ces messieurs... Oui elle se sentait parfaite, surtout quand elle mit une touche de rouge sur ces lèvres... Des lèvres pulpeuse et accueillante...

Bon bon qu'elle client vais je recevoir aujourd'hui. Mon pas félin me fait traverser l'endroit, jusqu'à ce que je tombe sur Amelia, il semblerais qu'elle me cherche... Un client pour moi... Chouette je n'aurais même pas a attendre que le client vienne a moi...

Délicatement poser un baiser sur la joue d'Amelia avant de me diriger vers la chambre indiquée, amusant c'est l'une des chambre que préfère la jeune femme, ce n'est pas la premières fois qu'elle y entre en deux ans.. Non et cela ne sera pas la dernières, plus d'une fois aussi elle avait jouer la dominante, il est fou de voir que certain homme aime a être traiter plus bas que des porcs.. Et pour tout dire ce genre de nuits est assez excitante... Autant que de se retrouver a la merci d'un homme.

Tranquillement allumer la lampe, avant d'entre dans la pièce, simplement pour dire qu'on ne la dérange pas... et sans même poser une hésitation la jeune femme pénétra dans cette pièce tant apprécier... Elle adorais le décors, d'ailleurs elle y avait un peu participer... Un pas et elle fut dans la pièce, la voix de l'homme qui s'éleva elle la connaissait, rapidement son esprit se mit en marche, alors qu'elle s'avançait, d'un pas prédateur, son corps ondulant séducteur, allumer les hommes c'est ce qu'elle faisait le mieux n'est pas.

« Je vous remercie Messire Duchesne.. J'espère que je suis a votre gout. »
Souriant la jeune femme tourna sur elle même faisant voler sa fine jupe, dévoilant ces jambe bien galbée... Son sourire était allumeur et surtout carnassier, elle était loin de ces gamines épleurée qu'on pouvait des voir ici.. D'ailleurs elle ne tarda pas a passer a l'attaque, se glissant comme le jeune homme, laissant sa bouche courir sur son cou avant de venir se coller a sa bouche, un baiser ravageur, envieux, une langue qui cherche sa semblable..

« Avant tout chose veuillez payer.. Et surtout dire moi ce que vous attendez de moi.. Sachez que je suis ouverte a tout les jeux, surtout les plus pervers. »

Délicatement sa main glisse sur le torse de l'homme, venant se poser sur son entre jambe, qu'elle caresse a travers les vêtements , ces yeux sombres plonger dans le regard de l'homme.. Juste s'amuser, elle sentait son souffle contre ces lèvres et lui devait sentir le sien, elle adorait jouer c'était plus qu'un plaisir c'était sa manière de vivre.

Une fois de plus, le banquier savourait la perspective d'une nuit qui s'annonçait pleine d'imprévus délicieusement excitants. Depuis la mort de sa femme il avait ses habitudes ici et il venait au manoir très régulièrement, presque chaque soir en fait. Certaines des filles auraient sans doute préféré qu'il y vint moins souvent car elles gardaient de certaines de ses visites des souvenirs cuisants ou humiliants. Alan mettait un raffinement sans cesse renouvelé à leur imposer son joug physique ou moral. Il aimait bien manipuler, dans tous les sens du terme, les jeunes encore novices, souvent naïves, qui y perdaient là leurs dernières illusions. Mais il aimait aussi trouver de la résistance pour des jeux qui pouvaient alors devenir encore plus violents, encore plus pervers. C'était bien là le cas de la délicieuse de ce soir, Ambroisie. Il la connaissait un peu, et ce qu'il en avait expérimenté lui mettait l'eau à la bouche. D'autant plus qu'Amelia lui en avait dit le plus grand bien et la merveilleuse patronne des lieux connaissait ses goûts extrêmes. Il lui faisait totalement confiance sur ces questions.

Quand Ambre entra dans la pièce elle y fit immédiatement flotter une atmosphère très particulière qui plut au banquier. D'abord cette tenue lui allait non seulement à ravir mais conditionner déjà l'état d'esprit d'Alan. Le rouge était partout sur elle et le contraste avec la pâleur de sa peau était saisissant, comme un appel à ... les idées se bousculaient dans sa tête, toutes plus affolantes les unes que les autres. Le rouge du corset, la couleur du sang ... cela avait forcément une signification et la jeune femme le savait pertinemment. Comme ses lèvres rouges étaient un appel qu'il entendrait rapidement sans doute. Elle se déplaça vers le centre de la pièce en virevoltant pour bien montrer à celui qui était son client de ce soir la grace de son corps, ses jambes fines et joliment dessinés. Il la regardait et pouvait se régaler de ce spectacle s'autant qu'une fois la jupe, il n'était pas certain que cela en fut une d'ailleurs mais bientôt plutôt un jupon dont le rouge, comme le reste de la tenue, ne masquait pas, une fois les volants retombés, le corps de la belle. il en salivait déjà et la jeune femme savait décidément s'y prendre pour aiguiser l'appétit d'Alan.

"Il me tarde en effet de goûter au festin qui s'annonce ... Votre entrée en ces lieux ne peut qu'aiguiser mon appétit, très chère ..."

Cette entrée en matière n'empêchait pas la jeune femme de ne rien oublier des raisons de sa présence ici. Et la règle des lieux était bien de faire payer le client avant toute ... consommation! C'est ce qu'elle se fit un devoir de réclamer tout en lui demandant ce qu'il attendait d'elle. Alan sortit quelques pièces de son gousset. Il savait se montrer très généreux, l'argent n'étant pas un souci pour lui et les filles qui l'avaient pour client savaient ce qu'il en était. Pour les délicieuses comme Ambre c'était tout bénéfice.

Puis, ayant déposé l'argent sur le petit bureau situé près de l'entrée de la pièce, il se rapprocha de la jeune femme, un petit sourire au coin des lèvres. Il leva la main et caressa doucement, presque distraitement la peau de la belle, au-dessus du corsage, à la naissance des seins. Ses doigts, paume de la main retournée, couraient lentement, effleurant la peau délicate et blanche.

"Vous êtes ouverte à tous les jeux me dites-vous ... cela tombe bien!... je suis d'humeur très coquine ce soir .. je dirais même d'humeur très perverse. Je connais votre tempérament de feu ... le mater ... le dominer me conviendrait bien ce soir. Vous n'êtes pas hostile à ... disons une certaine violence dans ce genre de situation? La douceur et la blancheur de votre peau ... le rouge sans de votre corset ... le rouge dominant tellement dans vos habits ... tout cela me donne certaines idées..."

Le banquier n'était pas du genre à se soumettre aux caprices d'une belle en ces lieux comme pouvaient le faire certains des clients d'Ambre. La domination lui seyait bien mieux. Et il était prêt à en user et en abuser ce soir.

La jeune femme était intelligente, il le savait et elle avait parfaitement compris la façon dont il envisageait la soirée. Elle pouvait se montrer rebelle mais elle aimerait se laisser dompter, Alan en était sûr... Le regard, le soupir qui s'échappa de la bouche d'Ambre quand il laissa courir ses doigts sur la peau douce et blanche, tout lui montrait à quel point elle aimait ce genre de situation. Elle provoqua, avec un petit sourire qu'il apprécia à sa juste valeur, en lui faisant remarquer qu'il ne serait peut-être pas capable de mater un animal si peu docile.

La jeune femme savait comment s'y prendre avec les hommes, elle n'était pas une novice mais une délicieuse qui avait déjà comblé de nombreux clients du Manoir. Elégament elle laissa tomber le jupon qui lui tenait lieu de robe. Une large tache rouge s'étala sur le sol, le tissu léger se posant avec une sonorité qui émoustillait déjà le banquier. Il pouvait maintenant les longues jambes qui se dévoilaient à lui, seulement cachées par les bas fins et presque diaphanes. Le corps qu'il pouvait deviner, derrière les derniers obstacles qui ne tarderaient pas à disparaitre, Ambre ne portant pas de sous-vêtements, était magnifique. Et il se régalait à cette vue somptueuse, la laissant faire. Il serait toujours temps de prendre les choses en main. Le banquier hocha la tête, en signe d'approbation, lorsqu'elle saisit une badine en cuir, pas très longue mais assez grosse, posée à côté de la commode. Il imaginait bien ce que cet instrument, frappant la peau douce, tendre et si pâle de la jeune femme, pourrait faire comme dégâts s'il l'utilisait d'une main ferme et avec application.

Pour l'instant elle jouait avec lui, posant la cravache sur la peau d'Alan, comme si elle allait s'en servir. Mais c'était un jeu et, ce faisant, elle déboutonna la chemise du jeune homme, pour laisser courir ses doigts sur la peau du torse ainsi mis à nu, les ongles acérés laissant une longue trace rouge, sans aller jusqu'au sang. Cela excita très fort le banquier. elle posa alors ses lèvres sur les siennes, dans un baiser sauvage et ardent qui se prolongea jusqu'à ce qu'elle mordille les lèvres de son client, achevant d'éveiller les instincts les plus pervers chez celui-ci. D'autant qu'il sentait maintenant la main douce et tentatrice se poser sur son pantalon avant qu'elle ne lui confie la cravache.

Après cette ... mise en bouche, Ambre lui passait le relais, l'invitant à laisser libre cours à tous ses fantasmes. Et, sur ce plan, il n'en manquait pas. Il s'empara donc de la badine et la tâta un long moment, mesurant la qualité du cuir, la dureté aussi côté manche, alors que les lanières paraissaient légères mais cingleraient bien la peau. Il la regardait, détaillant déjà les parties du corps qu'il serait bon de viser.

"Qui t'a permis de me mordre la lèvre, de me griffer le torse, ... Insolente ... Cela mérite déjà châtiment !"

Terminant sa phrase d'une voix autoritaire, il arracha brutalement le corset, dévoilant complétement la poitrine de la jeune femme. Et d'un mouvement rapide et implacable il frappa le téton, juste l'extrémité du sein droit, avec le bout du manche, puis fit de même avec l'autre sein. Le coup était sec et assez brutal. Puis, avant même d'observer la réaction de la belle, Alan retourna la badine, la prenant par le manche pour cingler le sein avec les lanières. Celles-ci, sifflant en fendant l'air, s'abattaient tour à tour sur chacune des deux globes bien fermes puis sur la pointe du sein. Il prenait déjà un réel plaisir, en voyant les zébrures qui ne tardèrent pas a marquer la peau blanche malgré tout fragile de la jeune femme. Mais la soirée ne faisait que commencer et il ne fallait pas aller trop vite en besogne. Il s'arrêta donc au bout d'une douzaine de coups sur chaque sein et prit un peu de recul pour contempler son ouvrage avant de lui ordonner ...

"maintenant va donc choisir dans l'armoire ce qui pourrait convenir à une petite insolente comme toi ! et ... ne te trompe pas dans ton choix ! mais je suis certain que tu choisiras bien ..."

Et le banquier ne chercha à aucun moment à dissimuler le sourire pervers qui fleurissait sur ses lèvres, reflétant les pensées les plus folles qui couraient dans sa tête, autant que le désir qui commençait à gagner certaines parties de son corps...

Bien sur qu'elle savait y faire puisque depuis deux ans elle jouait la putain, et cela lui plaisait bien,elle adorais jouer avec les homme sentir leur main sur son corps, elle adorais sentir le membre en elle... Oui plus que cela même. Depuis la mort de son seul amour, elle ne vivait plus que pour cela, et des fois elle se demandait ce qu'elle deviendrais quand elle ne pourrais plus exercer, bah qu'elle importance, le plus important est de vivre le jour présent.

La jeune femme souris doucement alors que l'homme lui fit quelque remontrance, bien sur qu'elle n'avait pas le droit de le mordre ni de le griffer mais c'était agréable de se faire punir... Un petit cris de surprise lui échappa quand l'homme lui déchira son corset... Flute il faudrait qu'elle le refasse recoudre, ca allait lui couter cher, il faudrait qu'elle mette cela sur la note du jeune homme.

Un petit cris de douleur lui échappa quand l'homme lui frappa le téton, ca faisait mal mais dieu que cela faisait du bien, son corps en frissonnait doucement, la jeune femme était depuis longtemps clairement sado.. Elle aimait la douleur, cela lui donnait du plaisir.. Oui c'était étrange tellement étrange, mais si bon. Chaque coup lui tirait un petit cris d'envie de plaisir presque, qu'elle ne cherchait pas a étouffer simplement parce qu'elle savait que cela plaisir au client.

A chaque fois que la lanière touchait sa peau, la jeune femme soupirait doucement, sa peau rougissait sous les coup mais elle aimait beaucoup cela, le rouge du sang, le bleu des coup était très agréable, et qu'importe si elle devait se reposer un peu après la séance.. Tant qu'elle donnait assez d'argent a Amèlia et son mari tous serais parfait
Choisir quelque chose dans l'armoire, tranquillement la jeune femme s'approcha pourtant de l'homme, plutôt que de l'armoire..

Délicatement ces doigts vinrent enlever complétement la chemise de l'homme, venant par la même occasion défaire avec savoir le pantalon du jeune homme, simplement pour avoir accès plus facilement a son chibre... Sans le caresser plus que cela la jeune femme se rendit a l'armoire, allumant au passage une grosse bougie rouge, pour préparer un peu de cire, c'était agréable al brulure de la cire chaude sur son corps.. Dans le même mouvement elle actionna aussi un mécanisme qui fit descendre une cage , qui sait peu être qu'elle s'y retrouverait a un moment ou a un autre...

Ouvrant l'armoire la jeune femme sortit plusieurs god de plusieurs tailles, de la plus petit a la plus grosse, avant qu'elle ne laisse échapper un petit rire. Tiens tiens amusant cet ensemble... Se tournant vers le jeune homme elle lui montra des oreilles de chien et un petit god anal ou l'on avait attacher une imitation de queue de chien..µ

« Ca m' 'irait parfaitement non? »

Avec un petit rire la jeune femme passa le serre tête dans ces cheveux noir, cela donne bien n'est pas ces petites oreilles de chien sur sa tête.. Doucement porter le god a sa bouche, et le sucer avec douceur, sa langue laissant des trainée de bave pour l'humidifier , le faisant luire doucement, délicatement elle se penche, les fesse vers le jeune homme, pendant qu'elle fait en douceur pénétrer le jouet en elle, poussant des petits gémissements de plaisir, se mettant a quatre patte, la jeune femme s'approcha en douceur du jeune homme... Venant frotter sa tête contre la cuisse de l'homme comme un bon petit chien.

Il avait rapidement compris qu'avec Ambroisie il ne s'ennuierait pas ce soir. Cette femme lui parut aimer le traitement qu'il avait entrepris de lui administrer. Elle faisait partie de ces quelques personnes qui étaient capables de tirer une certaine jouissance dans la douleur. Il aurait bien entendu à vérifier jusqu'à limite il pouvait se permettre d'aller mais il irait, c'était une certitude jusqu'au point où elle craquerait. Alan passerait ainsi des moments particulièrement jouissifs et il s'en régalait à l'avance.

Elle ne lui obéit pas immédiatement et s'attarda un peu avant d'aller vers l'armoire qu'il lui avait indiquée. Ambre semblait bien connaitre les lieux mais aussi les gestes qui pouvaient faire monter en lui le désir. Elle commença par s'approcher de nouveau du banquier, lui enlevant sa chemise. Elle contempla un instant le torse de l'homme puis s'amusa à lui ouvrir le pantalon, juste ce qu'il fallait pour que ce vêtement ne tombe pas mais laisse la voie plus accessible au précieux trésor, le chibre gonflé et juteux qui serait tôt ou tard l'objet de toutes ses attentions, l'origine de son plaisir sans cesse recommencé. Ceci fait, la jeune femme s'éloigna, d'une démarche légèrement provocante vers la fameuse armoire. Mais au passage elle alluma une superbe bougie, tant par la taille que par la couleur, un magnifique rouge, donnant un éclairage surprenant à la pièce puis, d'un geste à peine visible, presque négligemment, elle fit descendre une cage. A la vue de ces divers objets, de folles idées commençaient à trotter dans la tête du banquier. Il aurait de quoi faire pour jouer avec cette catin.

Ambre a maintenant farfouiller dans l'armoire et quand elle se retourne il la voit coiffée d'un serre-tête avec des oreilles de chien, agitant un petit objet terminé par ce qui ressemble à une queue de chien couvert d'une petite fourrure d'un marron assorti au serre-tête ... Il l'observe qui commence à sucer l'objet dont il comprend rapidement de quoi il s'agit. Elle le fait d'une façon terriblement sensuelle, à la limite de l'obscénité. Puis une fois le god dégoulinant de la bave de la chienne qu'elle est devenue, la jeune femme se tourne, montrant ses fesses à Alan, introduisant en elle cette queue factice dans un concert de gémissements. Elle rampe vers lui à quatre pattes, venant se frotter à la cuisse de l'homme. Celui-ci la laisse d'abord faire.

"je vois que tu as des dispositions pour ... te comporter en bonne petite chienne ... mais ... si ton idée de départ est bonne ... tu as choisis un peu la facilité ... "

Après lui avoir flatté le dessus de la tête, il se penche un peu vers elle, fait tourner le god pour bien l'enfoncer dans son anus. Puis, avec une certaine force il le retire vivement du petit trou et le lui tend ... vers la bouche de la jeune femme. Dans le même temps il s'empare d'un god beaucoup plus gros, parmi ceux qu'elle a sortis de l'armoire et laissés sur une petite table, juste à côté d'eux. Et, avant même qu'elle ait réalisé, d'un mouvement puissant il enfonce le pieu factice dans le petit trou de la belle. Une fois embrochée aux deux tiers il se met à tourner l'objet, dans le sens des aiguilles d'une montre puis en sens inverse, réitérant le mouvement. Il libère l'anus d'ambre puis l'embroche à nouveau, voulant entendre les cris qu'elle pousse à chaque fois.

"tu vois que c'est beaucoup mieux comme ça petite catin ... et pour toi et pour moi. Tu vas aimer ce que je te réserve.

Il est excité et ravi de la voir ainsi et d'entendre sa réaction, lui flattant de nouveau la tête, elle qui est à ses pieds, à sa merci.

Oui Ambre connaissait l'endroit, elle adorais y venir surtout pour punir de méchant monsieur, elle adorait faire glisser la cire sur la peau de leur torse avant de tirer violemment, arrachant au passage des poils... C'était amusant et surtout excitant, mais aujourd'hui c'est elle qui allait souffrir, et cela l'excitait tout autant. C'est amusant de voir son chibre gonfler doucement sous l'envie qu'il a d'elle... Elle adore qu'on la désire, elle adore voir que les homme on envie d'elle... Pour elle c'est une liberté que de pouvoir avoir plusieurs homme dans la même soirée .

Un sourire alors que l'homme lui dit qu'elle a des dispositions pour se comporter en une bonne chienne... La facilité, il avait déjà essayer de s'enfoncer quelque chose dans les fesse, non surement pas. Bon c'est vrai qu'elle était préparer pour se genre de chose. Mais bon... La jeune femme frotta pourtant sa tête contre sa main quand il lui flatta la tête, c'était amusant comme situation.

Un gémissement lui échappa alors que l'homme pousse et tourne le jouet, l'envie montant dans le corps de la jeune femme, son entre jambe commençant doucement a devenir humide.. Humm que c'était bon... UN soupire de dépit lui échappe alors qu'il la laisse vide, mais sans rechigner la jeune femme viens sucer le god, savourant un instant ce chibre factice, pour lui faire plaisir.

Un cris de surprise alors qu'elle s'accroche a la jambe de l'homme, bon dieu il vas la faire saigner a la pénétrer comme cela avec quelque chose d'aussi gros, la jeune femme sent d'ailleurs une blessure s'ouvrir doucement dans son anus, pourtant son cris n'est qu'un mélange de plaisir et de douleur, han bon dieu que c'est bon...

Le traitement de l'homme lui fait crisper ces mains sur la jambe de son pantalon, pousser des petit cris de plaisir et de douleur, son corps légèrement cambrer, ces seins bougeant doucement.. le jeune homme est douée pour la torture, la jeune femme gémis doucement, se mordillant les lèvres, en levant un visage presque sage au jeune homme...

« Han oui... Mais je peux aussi vous torturer .. »

La jeune femme souris doucement se redressant un peu sa langue agile venant se poser sur le chibre de l'homme, le léchant avec douceur, une langue habille qui trace un chemin humide sur le membre, la hampe de l'homme, dieu qu'elle aime faire cela... Doucement venir suçoter les bourse de l'homme, son corps offert a ces envies les plus folle, tant qu'il ne touche pas au visage, il peut tout lui faire, si elle est trop blessée elle prendra congé pendant quelque temps, elle en a la possibilité, pas comme les autres ... Non elle a un statut un peu différent des autres, peu être parce que les Boldwins savent qu'elle reviendra toujours, parce que la luxure est le pécher le plus capiteux... Celui qu'elle adore, celui dans laquelle elle plonge a chaque fois avec plaisir.

Doucement sa lange remonte sa bouche au lèvres carmine venant enserrer le haut du membre, le suçotant en douceur, aspirant doucement le gland dans sa bouche, le suçant avec douceur passion, lenteur, pour le faire patienter un peu, pour l'énerver, le pousser a bout. Ces doigts au ongles long passe doucement sur le membre, ces ongles caressant sa peau, dans une espèce de griffure, comme une fauve ou presque.

Elle aime ça et, lui, il est excité devant la réaction de le jeune femme. Quand il l'a entendu crier et senti sursauter, de curieuses sensations ont parcouru le corps d'Alan. Il ne se permettrait pas de telles choses avec n'importe laquelle des filles qui travaillent ici. Mais Ambre c'est un peu différent. Pourtant les fois précédentes, avec elle, il était resté raisonnable mais ce soir il n'a plus du tout envie de l'être. Il y a en lui un trop plein à libérer et puis ... elle l'a un peu cherché. Il sait qu'il peut se permettre beaucoup de choses avec elle. Quand elle lève son visage vers lui, le jeune homme n'y voit nulle crainte, nulle trace de rejet des jeux qu'il lui propose, un visage calme et un regard impénétrable. C'est presque de la provocation encore une fois, comme les gémissements qu'elle pousse. Elle ose juste lui dire qu'elle peut aussi "le torturer" ...

"tu ne t'aviseras d'être violente avec moi que si je t'y autorise, petite catin. Pour l'instant tu es une chienne obéissante qui subit ce que son maître a décidé! Et tu dois me montrer à quel point tu aimes ça..."

Et pour bien lui montrer qu'elle ne devait pas s'aviser d'inverser les rôles, Alan se mit à sortir puis entrer le gode à plusieurs reprises, sans lui laisser de répit. Il voulait l'entendre geindre, dans un mélange excitant de douleur et de plaisir. Ambre se mit à lui lécher les bourses et le sexe, son corps pris de terribles soubresauts quand il repartait à l'assaut de son petit trou. Et la jeune femme savait s'y prendre pour éveiller en lui un désir toujours plus fort, alors qu'elle caressait son sexe d'un mouvement si léger et si tentateur de ses doigts, parfois même de ses ongles. Sans doute de perverses pensées devaient-elles traverser l'esprit d'Ambre alors qu'elle insistait de plus en plus dans ces caresses subtiles. Il cessa un instant ses pénétrations violentes, lui laissant le chibre factice dans le fondement, profitant pleinement des mouvements doux et légers des doigts, de la bouche, de la langue. Puis, sous une nouvelle pulsion, il eut soudain envie de passer à autre chose, d'expérimenter de nouvelles sensations.

"Allonge-toi par terre, chienne !"

Il l'avait brutalement rejetée, écartant la tête penchée sur son sexe. Et Alan s'empara de la bougie de cire rouge dont la flamme virevoltait, étalant des ombres aux contours constamment déformés. Il leva la bougie et l'approcha du sein droit puis l'inclina pour faire couler quelques gouttes de cire qui vinrent s'écraser sur le téton. Il contempla son oeuvre puis insista, laissant plus de cire couler avec une lenteur perverse. Il guettait la réaction de la jeune femme qui, en premier temps, serra les dents pour ne pas crier. Puis il fit de même avec le sein gauche. Il s'amusait de sa réaction et l'excitation devenait de plus en plus grande. Mais elle avait choisi elle-même l'instrument de torture, signe qu'elle devait apprécier ce genre de situation. Il lorgna plusieurs fois vers la cravache qui lui servirait ensuite à marquer le sein et la chair devenu plus sensible. Jusqu'où pourrait-elle résister ? Il lui tardait de lui faire passer ce test.

Ambre était spécial, vraiment spécial, peu d'homme en fait connaissait pouvait se vanter de l'avoir un jour totalement connus, elle aimait autant la douceur que la violence, et pour tout dire elle se laissa facilement de ces amant, bon il y en avait un ou deux qu'elle aimait garder, mais souvent aussi elle les gardait parce qu'il était très riche.. Enfin ici cela ne jouait pas vraiment, pour tout dire l'homme lui plaisait bien, il semblait avoir des idées assez amusante... Violente, hoo mais elle ne parlait pas d'une violence physique, par brutale en tous cas, mais quelque chose de plus calme, de plus sensuelle, en fait elle aimait jouer avec les nerfs de ces clients..

Une petit chienne qui aime le traitement de son maitre si il veux c'est le cas en plus elle aimait beaucoup ce qu'il lui imposait pour l'instant.. la jeune femme couinait a loisirs, elle avait comprit il y a longtemps que la plus par des hommes aimait entendre leur complice aimer ou crier sous leur mouvement...

Tiens tiens monsieur semble aimer ce qu'elle faisait, et elle aussi d'ailleurs, il n'y a rien de plus intéressant que d'exciter de sa bouche un membre d'homme... Elle aimait titiller aller plus loin toujours plus loin qu'importe que son corps soient complétement déchirer a la fin de la nuit ou de l'heure, mais quelque chose lui dit qu'il faudra plus d'une heure pour que l'homme se satisfasse d'elle, parfait... C'est si bon de donner du plaisir, d'avoir son chibre dans sa bouche, au moins lui en avait un d'un assez bonne taille, elle avait des client avec lesquelles on sentait a peine la pénétrations se sont les pire, les plus épuisante, simuler c'est pas amusant...

Il l'avait repoussée, faisant tomber la chienne sur ces fesses, la langue encore un peu pendante, pourtant sans mots dire elle s'allongea doucement sur le sol observant l'homme allez chercher la bougie, humm chouette... Un gémissement de plaisir et de douleur lui échappa alors que la cire coula doucement sur sa poitrine c'était chaud, presque brulant, son téton se dressa sous la douleur, sa peau rougissant un peu...

Rouge sur blanc dieu qu'elle adore cette couleurs, ondulant un peu elle poussa un cris un peu plus fort alors que sans le vouloir elle avait fait un peu fait entrer le membre factice en elle... Le corps cambrer elle savourait la cire chaude, qui rendait sa peau si sensible... Doucement sa main vins se poser sur celles de l'homme, la poussant un peu pour faire couler la cire un peu plus bas... Gémissant un peu plus fort, toujours pousser la main plus bas, pour garnir jusqu'à son mont de venus du rouge de la cire...

« Hann... c'est bon... mais vous ne savez faire que cela? »

La jeune femme eu un petit sourire pervers, amuser, elle voulait vraiment pousser l'homme dans ces retranchement, sans attendre son ordre, au risque de ce faire punir, elle posa ces doigts sur la cire toujours sur ces seins, a présent durcir il était tant de l'enlever, sans hésitation elle tira un coup sec, poussant un petit cris de douleur, en dessous sa peau était rougie tellement sensible...

Cette catin est décidément tout à fait le genre de fille qui convient à Alan. Elle se prête à ses jeux avec une volonté de provoquer et de le pousser toujours plus loin qui lui plait énormément. Le banquier sent ses instincts cachés au plus profond de lui qui remontent inexorablement, lui procurant une excitation qu'il n'a pas connu depuis longtemps. Ambre ne sait pas dans quel engrenage infernal elle s'est lancée mais elle devra assumer. Son corps portera pendant quelque temps les stigmates de cette nuit où leurs jeux vont dépasser les limites habituels. Mais ce n'est pas cette perspective qui va freiner les ardeurs du banquier.

Il constate avec un réel plaisir qu'elle est elle-même excitée par cette cire rouge qui coule sur ses seins. Les gémissements qui s'échappent de ce corps maintenant langoureusement allongée sur le sol mêlent la douleur et le plaisir. Cette petite lueur qui brille dans les yeux d'Ambroisie le démontrent sans contestation et ravissent Alan. Elle le pousse même à aller plus loin, le provocant avec une perversité qui rivalise avec celle de l'homme qui est face à elle. La jeune femme guide sa main pour que la cire coule aussi sur son ventre ... et sur son pubis. Il la regarde avec un sourire qui cache encore toutes les folles idées qui traversent la tête d'Alan. Et il admire la détermination de sa partenaire qui vient d'arracher la cire du téton qui reste rouge

"je vois que tu aime souffrir petite chienne ... mais qui t'a autorisée à prendre ainsi des initiatives ... cela mérite punition !"

Il reprend la badine qui lui avait servi un peu plus tôt et s'en sert pour enlever la cire qui couvre le deuxième sein, ôtant au passage les traces qui subsistent sur le premier téton. Il le fait avec application par quelques coups appliqués avec une certaine vigueur puis cingle le ventre qu'il veut à son tour nettoyer. La peau commence à rougir. Les fines lanières se dirigent maintenant vers le mont de vénus et font leur oeuvre de nettoyage, méthodique et lent. Une fois ce travail fait, satisfait des cris de plus en plus forts qu'a poussés Ambroisie il contemple le corps, une main posée sur son main, l'autre main libre, ayant reposé la badine.

Alan a pris sa décision. Il s'empare de nouveau de la bougie et refait couler la cire rouge sur les seins qui sont à cet instant de la même couleur. Il sait que la chaleur de la cire va, au contact du sein rougeoyant et sensible, faire merveille. Il observe la réaction puis, satisfait, repose la bougie, laissant quelques instants la belle à ses affres. Alan, qui a visiblement une idée en tête, guidé par la perversité libérée en lui, va chercher dans l'armoire. Il en ramène deux pinces qu'il vient fixer sur les tétons sur lesquels la cire n'a pas encore complétement durci. Le métal vient enserrer sans ménagement la chair déjà martyrisée.

"Voilà une punition bien méritée ... maintenant fais-toi pardonner chienne !..."