Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé)
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Sujet: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Ven 13 Fév - 21:56
Qui êtes vous
feat (Anna Sperckhart)
Nom: Loiseau Prénom: Eugenie Âge: 21 ans Métier: Ribaude
Particularités: Ses tâches de sons qui maculent son visage mais qu'elle camoufle le plus souvent avec du maquillage, ainsi que sa grande souplesse, souvenir de ses jeunes années en tant que fille de forain.
Votre Histoire
► Le vent soufflant sur mon visage, je gardais les yeux fermés. La liberté était collée à ma peau, je n'avais jamais si bien portée mon nom de famille. Et puis avec souplesse, mes pieds retrouvaient le sol. Mon saut périlleux était une réussite. Mon père, avec son oeil acéré, n'avait rien à redire. J'étais prête pour montrer le numéro au public, tour d'acrobatie où la souplesse s'alliait à la grâce. Ma vie était rythmée par les voyages, les acclamations du public et la surveillance de mon père sur-protecteur. Il ne voulait pas qu'il puisse m'arriver quoique ce soit de mal, mais on ne peut jamais protéger ses êtres chers aussi bien qu'on voudrait. J'ai toujours eu la curiosité à fleur de peau et la volonté harnaché à l'âme. Grandir au sein d'une troupe, composé de tout à tas de gens aux personnalités plus extravagantes les une que les autres n'avait pu que me donner du caractère aussi. Les garçons ne me faisaient pas peur. Je n'avais jamais hésité à en frapper quelqu'un quand ils allaient trop loin, tout comme je n'avais jamais hésité à expérimenter ce que leurs corps pouvaient bien m'offrir. J'étais libre de corps et d'esprit et j'en savourais chaque inspiration de liberté. Fille unique de mes parents, j'avais été la perle de leur vie. Il n'y eu donc pas de restrictions de genre au sujet de mon éducation. J'avais appris à lire, à écrire, à compter auprès de différents tuteurs que mes parents payaient dans les villes ou villages où nous séjournions pour nos spectacles. Sachant qu'il n'y aurait pas d'autres enfants que moi, mon père m'éleva dans le but de reprendre la relève. J'avais eu le privilège d'apprendre l'autorité réservé habituellement à la gente masculine. Cerveau d'homme drapé dans un corps de femme. Les robes cela faisait longtemps que je n'en mettais plus, ou bien en de rare occasion pour plaire à ma mère. Puis les femmes aussi avaient su trouver mon regard. Leur peau douce, leur bouche si tendre et leurs seins si agréable sous la main sont des plus agréables, puis je ne risquais rien à profiter de la vertu de celles qui me ressemble, puisque je n'étais toujours que de passage.
J'étais faite d'audace, dans mes pantalons d'homme qui ne faisaient que dévoiler mieux mes fesses au galbe féminin. On me pensait à tord travesti mais ce n'était pas le cas, je ne jouais pas un rôle. J'étais tout simplement moi. Puis honnêtement, les vêtements pour femme sont une torture... Si long à mettre et si peu pratique, même si je dois admettre que leur sens esthétique est clairement supérieur.
Dans tout les cas, habillé ainsi vêtu, je n'avais jamais eu peur de flâner dans les rues quelque soit l'heure. Il suffit d'un chapeau sur la tête et de gants pour cacher la délicatesse de mes doigts et tout le monde me prenait pour un homme. Fini les remarques obscènes, la rue m'appartenait aussi. Je passais mes nuits dans des endroits louches à jouer à des jeux d'argents. Je criais aussi fort qu'eux et n'avait pas peur de lever le coude pour vider les verres. Je me faisais par la suite discrète quand je revenais dans ma roulotte. Mon père réprouvait parfaitement mon attitude rebelle mais j'avais beaucoup trop de fougue pour me faire museler.
C'est seulement à la disparition de ma mère que j'ai compris les risques que je prenais sans en avoir conscience. Nous savions tous que quelque chose avait dû lui arriver car elle n'avait aucune raison de fuir, de nous quitter sans un mot. Mais nous étions dans la pire ville qui soit pour perdre un être cher: Paris. Ce n'était pas la première fois que nous posions nos valises pour amener du rêve. Nous savions que cette ville n'avait que l'apparence de la beauté mais sa cruauté était si violence et soudaine... Elle nous laissa en proie à la panique et au désespoir. Ma pauvre mère, oiseau de douceur et de docilité, toujours à aider... Elle avait dû vouloir venir aider celui qui ne lui souhaitait que du mal. Toute la troupe s'était porté à sa recherche car elle était la mère de tous dans notre famille recomposé. On a cherché longtemps, prolongeant autant que possible notre sédentarité pour la retrouver mais rien, pas même un maigre indice de ce qui a pu lui arriver ... On dû reprendre la route, le regret au coeur et l'envie de crier aux lèvres. L'injustice veut que les bons succombent toujours en premier. Mon père qui ne faisait jusqu'alors que rouspéter un peu quand je faisais mes escapades, me maintenait désormais sous sa protection constante. Fini ma trop grande liberté. Il n'y avait plus que notre deuil et cette solitude mutuelle que rien n'arrivait à compenser. Les soupirs d'ennuies étaient là. Je ne répliquais plus rien, trop choquée par la disparition de ma mère. Après tout, je n'avais que 16 ans. Je vivais désormais en automate. Mon numéro de poupée de porcelaine funambule m'allait comme un gant.
Les voyages n'avaient désormais qu'une saveur de mélancolie. Tout me rappelait ma mère et ma présence rappelait à mon père son absence. Le temps était terriblement long et lourd. Je n'explorais plus, je restais près de la troupe les écoutant me raconter leurs histoires. Il me fallut du temps pour réussir à dépasser cette évènement, à ne plus chercher dans les ombres le visage de ma mère. C'était les risques des gens comme nous. Sans attaches autre que nous-même, nous étions les proies faciles des prédateurs qui ne voulaient pas laisser de trace. Tout le monde s'en fiche qu'un membre d'une troupe disparaissent tant que le reste continue de les faire rêver. Alors on continuait de semer nos illusions. Un faux sourire au lèvres, j'étais chatte faussement docile.
Petit à petit, j'ai repris mon hardiesse mais mon coeur était fermé dans une petite boite, loin loin de quiconque. Dans les villages, je sortais de nouveau, rencontrant le monde. Je manipulais les hommes pour obtenir des choses que je n'aurai pu obtenir autrement. C'est stupide ces créatures. Une fois le bâton droit, on pouvait littéralement en tirer ce qu'on en voulait mais ne jamais compter sur le constance. Toujours savoir quand partir pour les faire revenir à quatre pattes. J'étais cruelle mais ils prenaient ça pour une défi. Celui qui allait réussir à me dompter mais personne ne le peut car personne n'a accès à la partie tendre de mon esprit. Puis je reprenais toujours la route, étoile filante dans le paysage de leur vie monotone.
Il me fallu plus de temps pour oser renouer avec les rues tordus des villes. Je n'osais que le plein jour, l'angoisse me tenaillant trop fort quand le soleil disparaissait. Pourtant, le hasard voulu que mes 18 ans se trouve sur le chemin de Paris. Forcément, l'alcool coula à flot. C'était une belle nuit. On rit, on a mangé, on m'a souhaité plein de choses merveilleuses pour mon avenir. Puis mes boyaux, ne sachant plus contenir l'alcool, vinrent se vider près des quais où nos roulottes étaient posées. Je vis alors une jeune femme se faire molester par un inconnu. N'ayant même pas besoin de faire appel à mon courage, l'alcool parlant pour moi, je couru pour la sauver de son assaillant. Je lui asséna un coup de bouteille derrière la tête. Ce fut suffisant pour qu'il la lâche. Je lui indiqua avec force de mouvements de bras de fuir, ce qu'elle fit en me remerciant du bout des lèvres. Ah si elle savait à quelle point elle devait me remercier ... L'homme jeta alors son dévolu sur moi et lui réussi beaucoup mieux son affaire que moi, puisqu'il m'assomma bien proprement. Déjà que je tenais pas très bien sur mes jambes à cause de l'alcool, le coup me plongea directement dans le noir.
A mon réveil, j'étais dans une maison au luxe beaucoup trop tape à l'oeil à mon goût. C'était une cage dorée. Le petit oiseau que j'étais ne volerait plus jamais. Je dû mis faire à cette nouvelle vie où mon corps n'était plus simplement vendu à la vue des spectateurs mais aussi au toucher. Je n'étais pas stupide. Il ne m'avait pas fallu comprendre longtemps pour savoir que la rebellion hurlante ne servait à rien. Ça aurait juste mal fini pour moi qui n'avait de toute manière aucun moyen de joindre l'extérieur. J'avais déjà heureusement connu mes mains masculines et féminines sur moi, ce n'était donc pas ma vertu qui était en jeu. C'était ma dignité. Je n'arrivais pas accepter l'idée de vendre mon corps. Je n'étais l'objet de personne. C'est donc en félin manipulateur que je finis ma transformation. S'ils voulaient de mon corps, ils allaient devoir jouer avec mes règles. J'avais toujours été d'un naturel dominant dans mes relations charnelles mais je montais encore d'un niveau. Dans les chambres, c'était leurs supplications qu'on entendait, pas les miennes. Leur désir était à ma merci, sans pitié pour leur jouissance. Et ils s'en redemandaient, orgueil de mâle toujours excité à l'idée de se faire dominer par La femme. Je leur retournais l'esprit avant de retourner leur corps. Je ne les trouvais pas pitoyable, mais plutôt admirable ses hommes qui acceptaient enfin de voir que la femme serait toujours meilleur qu'eux. Je les récompensais avec la chaleur de mon corps. C'est bien pour cette manière si spéciale d'apporter la jouissance aux hommes que je passa aisément de simplement apprentie à ribaude. Cependant, j'acceptais les femmes. Je me faisais plus douce avec elles, comme si leurs courbes tendres adoucit mes moeurs. Bien sûr, je pouvais tout aussi bien leur fait l'amour avec cette violence que je contrôle si bien, les soumettre est aussi mon bon plaisir. J'avais accepté les règles et les avait fait mienne. Je ne rêve pas de l'amour, j'espère simplement un jour être trop vieille et retrouver ma troupe, ma famille.
Je n'ai rien en particulier contre les autres filles qui sont dans ma situation. Après tout, nous partagions le même sort, bien que je n'arrivais pas comprendre que certaines soient reconnaissantes de sort horrible. Il fallait que leurs vies d'avant soi bien terrible pour être heureuse de vendre son corps à des pervers incapables de trouver une femme autrement. Celle là je les trouvais stupide mais je n'en disais rien. Cette situation me pesait déjà assez pour que je ne veuille me rajouter des ennemis pour rien. Je pense avoir la vague ambition de devenir délicieuse, juste pour avoir les privilèges qui vont avec mais devoir attendre le bon vouloir des Boldwin me mettait hors de moi. Je les haïssais purement et simplement, d'une haine froide qui savait parfaitement se cacher dans l'hypocrisie pour ne pas créer de vague inutile. Et j'avais le même regard sur les rabatteurs, sous-fifre qui n'avait d'humanité que le visage et encore ... Par contre, les mignons restaient pour moi une énigme. Les hommes avaient pour moi mille et une autre façon de survivre à l'extérieur. Pourquoi allait jusqu'à laisser leur corps pour survivre ? Je le comprenais pas. Mais il y avait une chose que je savais: je n'étais pas heureuse ici et ne le serait jamais.
Qui es-tu vraiment ?
► Portrait moral (caractère , ...) : C'est un caractère, une tornade dans une bouteille de verre. On sent la puissance de son esprit dans le frémissement de son corps. Elle sait ce qu'elle vaut et ne laissera jamais personne lui dire autrement. Elle a le regard acéré des gens qui savent écouter pour mieux manipuler, trouvant toujours le moyen de rendre une situation à son avantage. Tout du moins, c'est uniquement si elle le veut. Naturellement, elle ne s'embête pas avec le superflu et les manières. Elle est directe, autoritaire et d'une assurance à toute épreuve. Sa volonté, elle la porte en étendard flamboyant. Elle ne brise jamais, elle fait semblant de plier pour mieux pousser là elle veut aller. Ce n'est pas une petite écervelée, elle a côtoyait beaucoup le monde pour qu'on la trompe et sait beaucoup plus de chose qu'elle ne veut bien le faire croire. Jamais elle ne se dévoile entièrement. Elle peut être souriante comme fermée, mais aucune de ses facettes n'est entièrement elle. Elle n'est pas Eugènie ici, elle est La femme et dans ce rôle impénétrable, elle se protège de ce travail répugnant. Elle domine, jouant avec les sens de douleur et de plaisir avec doigté. Mais au fond, elle préférerait tellement quand on lui demande de mettre en avant ses talents artistiques, ailleurs que dans un lit.
► Description physique : [ 7 lignes complètes minimum] : Elle n'est pas menue, elle est grande et élancé, le corps d'une liane qui vous glissera toujours entre les doigts. Sa bouche est de velours, pétale de rose aux dents acérés. Ses yeux sont d'un clair similaire au lac de fin d'été, ou le vert se mêle au bleu pour créer cette entre deux étrange et envoutant. Elle a la peau pas aussi clair que les standards de l'époque le voudrait, la faute aux origines du sud de ses parents. Mais son épiderme à la douceur du duvet des jeunes oiseaux, où on aime perdre les doigts pour récolter leur innocente jeunesse. Elle porte les cheveux longues, pas toujours aussi discipliné qu'il le faudrait, représentation de sa nature sauvage qui tranche avec le décor si rangé du manoir. Ils sont d'un beau brun chaud qui auparavant prenait des teintes roux au soleil. Ce dont elle est le plus fière, se sont ses jambes d'une longueur interminable, finement sculpté par ses muscles de souplesse et parfaitement galbé jusqu'à la rondeur de ses fesses. Elle apprécie aussi ses seins, petits mais fermes donc pratique et c'est bien tout ce qu'elle a besoin. Ses clients ont aussi une attention toute particulière pour ses mains: des doigts fins et délicats mais aux ongles longues qui ne manqueront pas de vous griffer pour votre plus grand plaisir ou déplaisir.
► Divers : (liens éventuels sur le forum : famille, ennemis, amis, etc.) (Vos liens ici)
Prénom ou surnom : alleluia Âge : plus de 18 Sexe : f Comment avez-vous connu le forum ? :en cliquant sur un onglet partenaire avec Ambrosia Des suggestions vis-à-vis du forum ? peut-être avoir accès aux fiches de présentation en étant simple invité, car au moins ça donne plus d'idée sur le genre de personne avec qui on va rp Vos disponibilités pour poster : 3/7 Mots de passe X3: ok
Dernière édition par Eugénie Loiseau le Jeu 19 Fév - 15:04, édité 1 fois
Amélia Boldwin Maîtresse des lieux
Messages : 1715 Date d'inscription : 26/09/2010
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Jeu 19 Fév - 12:32
Merci de votre patience
Merci de votre patience
Dawn Cavill Apprentie & Admin
Messages : 4437 Date d'inscription : 27/09/2010 Age : 35 Localisation : Le Manoir Des Délices
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Dim 22 Fév - 16:59
très belle fiche j'adore ta plume et ton perso ! d'ailleurs une idée de lien parfait me vient entre nos deux demoiselles si tu veux qu'on en parle par mp
Quoiqu'il en soit, je t'ouvre les portes du manoir ! n'hésite pas si tu as la moindre question
Invité Invité
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Dim 22 Fév - 17:34
Merci Ravie que ma fiche t'ait plu !
Et je dis un grand oui pour le lien ! j'attend ton mp avec impatience
Invité Invité
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Dim 22 Fév - 18:15
Bienvenue parmi nous collégue
John de Plessis-Belliere
Messages : 919 Date d'inscription : 08/12/2011 Age : 37 Localisation : Au Château Familiale ou au Manoir... Tout dépend de l'heure !
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Lun 23 Fév - 8:27
Bienvenue ici jolie oiselle !^^ Quel regard...
Violette Dupret Apprentie
Messages : 1119 Date d'inscription : 29/07/2011 Age : 42
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Lun 23 Fév - 9:12
Bienvenue !
Ezel Olven Mercenaire/Assassin
Messages : 2592 Date d'inscription : 03/01/2012
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Lun 23 Fév - 16:49
Bienvenue à toi ! Moi aussi, un de mes persos a très envie de se laisser tenter ! ^^
Invité Invité
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Lun 23 Fév - 17:12
Merci pour les bienvenues
et laisse toi tenter, Ezel
Aliénor Blanc
Messages : 176 Date d'inscription : 04/04/2014 Age : 30 Localisation : Au Manoir, probablement
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Lun 23 Fév - 22:17
Oh mais j'avais pas dit bienvenue ici *-*
Bienvenue donc
Anne-Lise Salincourt Gouvernante en chef de L. de Kerouac
Messages : 656 Date d'inscription : 07/01/2011 Localisation : Chez Loïc de Kerouac
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Mar 24 Fév - 0:29
bienvenue ici !! jolie fiche j'espère que tu te plairas parmi nous !!!
Florimond de Plessis
Messages : 928 Date d'inscription : 18/10/2010 Localisation : En taverne ou au Manoir des Délices
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Mar 24 Fév - 19:22
bienvenue charmante demoiselle à essayer une dominante... Hum en général c'est plutôt moi qui mène la danse, mais je suis joueur faut faire des expériences dans la vie
j'espère que tu vas te plaire ici !
Invité Invité
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Mar 24 Fév - 19:53
Encore merci pour les bienvenues !!
Je suis sûr que vous laissez aller entre mes mains, vous plaira beaucoup...
Invité Invité
Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé) Mer 25 Fév - 19:49
Bienvenue au Manoir !
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Sujet: Re: Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé)
Eugénie Loiseau - une cage dorée, on s'y fait (terminé)
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