Voilà quelques jours passés depuis mon première expérience. Mon corps avait encore bien mal, des courbatures me piquaient un grande partie de mon corps. Mais c'est surtout les souvenirs de cette nuitée avec ce monstre qui me piquaient la tête. En fermant les yeux, je voyais encore son visage noir de satisfaction, se rhabillant, le sourire, me laissant là sur le sol de cette chambre assise, la tête posée sur les genoux.
« A bientôt, jeune Lise »
Ces mots me donnaient froid dans le dos, rien qu'à imaginer me retrouver encore dans la même pièce que lui.
Je me levais de ma chaise dans la cuisine pour poser mes couverts et assiettes dans l'évier , quand on vint alors me chercher pour me dire d'aller me préparer.
Me préparer. Et oui l'enfer ne faisait que commencer. J'allais en voir passer des hommes dans cet endroits malsain et pervers.

Une fois dans ma chambre, je me changea, je mis une robe bleu légère facile en enfiler mais aussi en ôter, ainsi qu’un corset, pour surélever ma poitrine. En faite, je ne faisais que mettre les cours que l'on m'avais donner à exécution.

«  tu te dépêches, la cliente t'attend »

Avais je bien étendu ? La cliente ? J'avais rendez-vous dans une chambre avec une femme. Et oui, je ne pensais pas que les femmes faisaient cela ensemble. Voilà encore une grande preuve de ma naïveté, et mon ignorance dans le domaine des plaisirs de la chair.

Une fois devant la porte, je pris une grande inspiration, et j’appuie sur la poignée. En face de moi, ce trouvait une jeune femme blonde, une noble, vu ses vêtements, et posture qu'elle avait.

" Bonjour Madame, je se nomme Lise"

J’eus à peine le temps d'entrer et de me présenter quand j'entendis

Ferme la porte et déshabille toi.

En m’excitant, j'avais sentit le ton froid , non, plutôt glacial et autoritaire de la femme qui maintenant me faisait face.
Pour ne pas créer de problèmes dès mon arrivée, je commença à me déshabiller, délassant tout bien que mal me corset, que j’avais un peu trop serrer. Je le posa sur la petite table juste à côté de moi, et je fis de même pour la robe que je portais, mais cela m'avais pas l'air assez rapide.

Dépêche toi... Tu as du travail

Du travail ? Qu'allait elle me faire, je la regardais sans réussir à cacher mon étonnement. Il est vrai, que je n'ai jamais eu à faire à une femme dans une telle situation.
Je me plaça juste devant elle, à environ un mètre, tordant mes doigts et mordant ma lèvres inférieur en guise de marques d'anxiété par rapport à ce qui allait se passer avec cette femme.

Alors que je me déshabillais, je sentais son regard sur moi. Il avait l'air de détailler chaque partie de mon corps.
Une fois placée devant elle, je relève la tête pour attendre la suite de ces paroles ou de ses gestes. Il est vrai je ne savais pas à quoi m'attendre en ayant cette fois une femme comme cliente. Mais en faite, je me sentais plus à l'aise nue face à une femme qu'à un homme.

Je la vis se lever laissant son éventail sur la chaise face à moi. Je la trouvais belle. Sa chevelure blonde, son regard bleu, elle avait beaucoup de prestance et d’élégance dans sa manière de marcher vers moi.
Elle tournait autour de moi, lancer glisser ses longs doigts sur mes épaules, me faisait frisonner à chaque endroits ou elle passait.
Je fus surprise quand celle-ci claqua sa main sur mes fesses, me faisant entre ouvrit mes lèvres d'étonnement. Mon corps s'était dressé d'un coups et fit également rebondir ma poitrine.

Elle se mit face à moi et posa ma main sur mon sein, et se mit à le caresser, j'ouvris encore la bouche mais la referma directement. Je la laissais faire, et je sentis malgré moi, mon corps devenir réceptif à ce geste.
Quand elle me parla de nouveau, elle m'ordonna de la déshabiller. Elle était sérieuse. Une fille comme moi, avoir le droit de toucher une femme comme elle.
Mais elle ajouta quelques mots à la fin de sa phrase. Aimer ce que je découvre.
Comment allais je faire cela ?

Je fis donc le vide à l’intérieur de moi, et je tendis ma main tremblante vers elle. Je la stoppa en chemin pour la refermer. Puis la ré ouvrit pour effacer les tremblements elle émanait.
Je guida ma main vers son épaule droite afin de faire glisser tout doucement sa manche vers le bas, en prenant de laisser glisser deux de mes doigts sur sa peau blanche. Je glissais le tissus sur son bras, il faut dire la vérité elle avait une peau magnifique. Avec mon autre main, je fis la même chose de l'autre coté. Puis j’allai derrière elle, afin de défaire son corset, me repositionna face à elle.
Je laissa tomber le corset à terre, et reposa mes mains sur sa peau, afin de continuer mon effeuillage. Je fis glisser sa robe au niveau de sa poitrine pour la découvrir complètement, toujours en laissant traîner mes doigts le long de son buste. Sa poitrine était belle, plus belle que la mienne. Je trouvais la mienne petite à côté de la sienne, elle avait de très belles courses, des hanches de femmes. Et enfin je laissais tomber la robe sur le sol, en découvrant à ma grande surprise qu'elle ne portait pas de culotte. Comment avait elle fait pour ne pas porter de culottes pour venir jusqu'au manoir.

Je fis un pas en arrière, après avoir fini ma mission, je me baissa pour ramasser ses vêtements et les poser sur le meubles juste à côté de moi, je ne voulais pas que ses beaux vêtements ne soient abîmés .

Je restais l'observer pour voir ce qu'elle allait me dire par la suite, en espérant avoir réussit à lui faire plaisir, même juste un peu.

Jeune... trop jeune dans ses gestes. Le manoir ne formait-il plus ses apprentie? Laissait-il ce soin à ses clients? Il faudrait que je m'en entretienne auprès du couple Boldwin dans les proches délais... Une toute jeune novice peut-être un régal pour un homme voulant satisfaire son besoin de domination face à la jouvencelle pucelle. Mais là, ses mains étaient hésitantes, elle tremblait presque en s'exécutant. Ne savait-elle pas ce qu'une femme aimait? N'avait-elle jamais expérimenté son propre corps afin de le découvrir jusqu'au plus profond plaisir qu'offrait son intimité? La jeunesse était déprimante par son manque d'audace.

Cependant, elle prenait soin de faire les choses aussi bien qu'elle me pouvait, et j'appréciais qu'elle prenne soin de mes vêtements en les ramassant pour les déposer en hauteur sur ce meuble.

Louise c'est ça? Peu importe...

Je balayais son prénom écorché ou non d'un revers de main comme on chasse une mouche.

Viens t'asseoir auprès de moi sur ce lit.

J'accompagnais le geste à la parole en allant, nue, m'installer sur le lit.

Je la laissais venir à mes cotés puis une fois qu'elle fut installer, j'entrais dans le vif du sujet en plaçant ma main entre ses cuisses, la paume plaquée contre son sexe, sans pour autant tenter quoi que ce soit d'intrusif.

N'as tu jamais cherché à connaitre les secrets du plaisir petite?

Je me fis plus caressante, mon majeur s'écartant de ma main pour glisser entre ses lèvres d'une manière douce et non agressive.

Car aujourd'hui tu vas devoir être capable de m'offrir du plaisir comme une femme aime en recevoir...

Mon majeur ayant trouvé son clitoris, je m'attardais dessus sans forcé, juste pour qu'elle sache qu'ici se trouvait également mon point de plaisir.

Lorsque je me retrouvais de nouveau face à elle, je vous son côté hautain dans ces yeu et dans ses gestes. Certes c’était une belle femme, mais elle savait qu'elle ne faisait pas partit du petit peuple comme on dit.

Quand elle m'appela, elle écorcha mon prénom, un peu comme si elle l'avait fait exprès ou qu'elle s'en fichait.
Nous étions deux femmes nues dans une chambre. Le faite que l'on soit nues ne me dérangeais pas plus que cela finalement, du coup, je me détendis et passa mes mains derrière mon dos en attendant qu'elle me dise quoi faire.

Viens t'asseoir auprès de moi sur ce lit.

Me dit-elle en montrant le lit de sa main. Je me dirigea sur le lit tout comme elle d'ailleurs. Je me mis assise juste à côté d'elle, nos jambes se toucheraient presque.
Elle ne perdit pas de temps, et glissa sa main entre mes cuisses. Je me dressais droite comme un piquet surprise par son geste.

N'as tu jamais cherché à connaitre les secrets du plaisir petite?

A sa question, je me mis à réfléchir. Non, je n'ai jamais vraiment à chercher cela, du faite, que je ne me suis jamais posée la question. Pour moi, cela aurait été une chose que j'aurais découverte une fois mariée. Ma vision des choses me ressemblait, elle était naïve, bien trop, car désormais, je ne pouvais plus penser à cela, mais avant tout à ma survis dans cet univers obscure. Je devais m'endurcir. Je lui répondit donc

« Non madame, pas vraiment, je pensais que je le découvrirai avec le temps »

Je ne lui mentais pas j'étais sincère. Je sentais on doigts jouer avec mon sexe, mais d'une manière tellement douce qu'on ne rendait pas compte que me touchait à cet endroit. Je me détendais, même si je sentais des frissons défiler sur mon corps.

Lui donner du plaisir comme on le donne au femmes. Oh mais quand dieu, l'homme qui était passé juste avant, elle m'avait donner aucun plaisirs juste de la peur, et du dégoût de moi même.
Quand son doits trouva le point G de mon sexe je révéla la poitrine, c'était piquant et doux à la fois, je sentais comme une chaleur montée en moi, était cela le plaisir ?

J'émis mon premier gémissement. Elle dit de moi que j'étais une sotte. Oui elle avait entièrement raison, je n'y connaissais rien, et je ne le cachais pas. Ma seule et unique expérience de la découverte des « plaisirs » avait été un véritable calvaire pour moi, et un vrai plaisir pour le monstre qui me l'avait infligé.
Alors avec cette femmes, je découvrais des choses encore méconnues pour moi, et le fait de voir mon corps réagir ainsi, me faisait prendre conscience que le sexe pouvait être de simple plaisirs que pas seulement bestial.

Je me sentais de plus en plus humide au sein de mon intimité, cette partie me faisait me détendre , sauf qu'elle retira brusquement ces doigts me faisant une réflexion

Regarde ce que tu as fais

Je me suis senti d'un coup fautive vue l'intonation de sa voix, mais quand je leva les yeux, je la sourire, un sourire satisfait de son geste et ces conséquences. Ces doigts étaient entièrement humides et elle avait l'air ravi. Alors je me décidais de me laisser guider par les instructions de cette femmes à fort caractère. Je ne voulais pas me faire gronder encore une fois, vis à vis mon inexpérience.
J’écoutai donc avec attention ce qu'elle me dit par la suite.

Fais moi la même chose

Avant même que je pus réagir, elle plaça une de mes mains sur son sexe, et se mis en position de manière à ce que j'avais une pleine vue sur son anatomie. C'est avec plus d'intrigue et de peur, je me mis à caresser ses lèvres du haut vers le bas avec mon index et mon majeur, puis je remontais en laissant un des deux doigts se glisser à l’intérieur de celle-ci afin de trouver son point G. Une fois, trouvé je fit comme elle je me mit à passer mon doigt intensément sur celui-ci, en faisant attention de ne pas lui faire de mal.
Je sentais mon doigts devenir humides tous comme les siens l'avaient été.

Je leva les yeux vers elle, afin de voir les réactions qu'elle avait, et peut-être les choses qu'elle pouvait me dire.

Suite à son ordre je me stoppa net. Je commençais à croire que je faisais bêtises sur bêtises.
Connaître le corps des femmes ? Pas dans ce domaine là, malheureusement. Pour moi. Car là maintenant, je me faisais corriger à chaque chose que je faisais et cela, ne me donnait pas plus confiance en moi.

Je sentais au son de sa voix, qu'elle commençait d’énerver et à perdre patience. Allait-elle me renvoyer ? Si c'était le cas, le couple Boldwin la punirai plus qu'elle ne pouvait l'imaginer.
Je me repris donc par la main, redressa la tête a fin de mieux la voir, ma main était toujours au niveau de son clitoris. Elle ne bougeait plus, tout comme moi, qui écoutait les réprimandes de cette femmes, qui selon ces dires se touchait le sexe seule, se donnait du plaisir seule.

Comment une femme aussi belle qu'elle pouvait avoir besoin de se toucher seule. J'étais certaine qu'elle avait plein hommes ou de femmes pour pouvoir la satisfaire et lui donner du plaisir.

Elle me sortit de ma rêverie quand elle dit

Agenouille toi entre mes cuisses... Avec ta langue et tes doigts.

Ma langue ? Elle voulait que je mette ma bouche sur son intimité. Je me rappela ce que le boucher m'avait fait, mais beaucoup plus violemment, je fis donc ce que me demanda et m’agenouillai juste devant ses lèvres.

J’approchai ma bouche de celle-ci, et ferma les yeux. Peut-être quand fermant mes yeux mon imagination prendrait le relais. Je sortis ma langue de ma bouche et écarta les lèvres de son sexe afin de pouvoir glisser m langue dans sa partie chaude et humide de celui-ci. Je descendit et posta ma langue le long de son clitoris, et joua avec, puis je referma la bouche afin de le pincer légèrement avec mes lèvres.

Je sentais mon corps réagir à mes gestes sur elle. mon sexe me démangeait, je le sentais de plus en plus humide, et j'avais de plus en plus chaud également. Toujours à genoux, je me tortillais, en laissant mes cuisses se frottés l'une contre l'autre.
Je la lâcha avec ma main gauche afin de pouvoir me soulager entre les cuisses, de cette sensation qui montait de plus en plus.

Quand sa voix résonna dans toute la pièce, je lâchais tout ce qui pouvait se trouver à porter de mains, elle également. J'étais à genoux sur le sol, tel une esclave qui allait prendre une correction. Cette maison n’accueillait que des fous. Je voulais quitter cette pièce en courant, mais mes jambes ne me permettaient pas malheureusement.

Elle avait l'air en colère, je baissais la tête pour éviter de croiser son regard mécontent des services que je lui donnait, qui étaient loin de ceux qu'elle avait espérer avant durant cette séance avec moi. Mais je finis par lever les yeux vers elle, pour voir ce qui allait se passer.

Je t'excite c'est cela ?

Elle avait sans doute raison, je n'avais jamais ressentis cette sensation de picotements à cet endroit au paravent. Par honte, je n'osai pas la regarder dans les yeux. Mais je l'a vis écarter un peu plus les jambes, pour faire un sorte que son intimité me fasse complètement face. Elle plaça l'un des ces doigts, et commença à se toucher , me lança face à ce spectacle.

Tu as aimé ce que je t'ai fait, et tu as encore plus aimer m'avoir en bouche?

Malgré moi, je ne pouvais pas lui répondre, mais surtout je ne pouvais quitter mon regard de son intimité pendant qu'elle s’enfonçait un doigts puis un deuxième en elle. Ma bouche était entre ouverte, obnubilé par le spectacle sans gène qu'elle me donnait.

Sa réflexion sonna comme une cloche dans ma tête, avait-elle raison ? Je ne pouvais le croire moi même. Mais je ne voulais pas me faire gronder encore une fois.
Alors je me remis sur mes genoux juste en face d'elle. Ma main droite se plaça sur le haut de ces lèvres afin de mieux les écarter, l'autre se plaça juste à côté de ces doigts qui faisaient des va et viens en elle.
Ma bouche quand à elle, se plaça sur son point G et ma langue commença à jouer avec.
Timidement, je plaçais l'un de mes doigts avec les siens.

La voir prendre du plaisir suite à ma troisième tentative, me détendit un peu, je ne voulais pas la voir s'énerver encore une fois.
En vrai, sa femme me faisait un peu peur. Son exigence, ses goûts, et son langage envers moi, me faisait froid dans le dos, je ne voulais pas qu'elle puisse se plaire de moi aux couple propriétaire du manoir.
Ses cris et ses gémissements me montraient que je faisais du bon travail, je sentis ses doigts se glisser dans ma chevelure, poussant doucement sur ma tête, pour ne pas me faire quitter mon action en elle.
Elle me demanda de glisser plus de doigts en elle, ce que je fis sans discuter, je finis par l'entendre crier plus fort que la fois précédente, mais dans un contexte de plaisir pour sa personne. Je me suis sentis soulager d'avant réussi à lui faire plaisir, et de me pas mettre fait gronder une nouvelle fois.

Elle me demanda de me lever , ce que je fis alors qu'elle avait encore sa main dans mes cheveux. Elle me demanda de la rejoindre sur le lit, à côté d'elle. Je m’exécuta, je me la regarda pas dans les yeux, j'en avait trop peur. Mais sans que je puisse la voir, écartât mes cuisses et posta deux de ces doigts dans mon intimité, me laissant pousser un cri de surprise dans la pièce.

Tu es trempée. Me dit-elle sur un ton un peu agacée.

Il était vrai que je sentais l'humidité en moi, et je ne pouvais la contrôler. Elle se mit juste au dessus de moi, je ne pouvais plus la lâcher du regard, pendant qu'elle continuait son action. Elle attrapa un de mes seins et le serra fort, au point que j’ouvris la bouche laissant échapper un petit cri de douleur.
Plus bas, je la sentais travailler avec force sentant encore un doigts entrer entre mes cuisses, je me cambra pour lui facilité l'entrée, sa respiration se faisant plus saccadée, je sentais mon corps me lâcher complètement . Elle finit par me poser cette question.

Tes patrons savent-ils que tu préfères les femmes?

Préférer les femmes ? Cette question entra dans ma tête comme une pierre venant d'être jeter dans un lac. Je me pensais pas, je ne savais pas, pourquoi me posait-elle cette question ? C'est suite au plaisir que j'avais la réaction de mon corps.

«  Eh, bien...Je … ne sais pas, madame »

Que pouvais-je bien lui répondre, elle était ma deuxième expérience sexuelle, et ma première avait été loin d'une partie de plaisir, surtout pour moi.
Je me suis mise à penser que la prochaine fois avec homme se passera sans doute mieux que la précédente. Mais aimer les femmes était un péché. Non ?

«  Et cela est une faute d'aimer les femmes, ou aimer les femmes et les hommes ? »

En lui posant la question, je savais bien qu'elle allait me réprimander, mais j'avais envie d'entendre sa réponse.

La jeune femme retira ses doigts de moi, juste après la fin de ma question. C'est à ce moment, je me suis dit que j'avais dit une bêtise, une de plus.
Mais celle-ci avait l'air de l'avoir mise énormément en colère. Les muscles de sa main étaient tendues sur ma main, je la sentais tremblée de colère. Je ne voulais cette réaction, je voulais juste voir juste une simple réponse.
Mais ce ne fut pas le cas.

Une faute? Me crois-tu pécheresse d'aimer les deux sexes? Me trouves-tu fautive d'aimer jouir sous les attentions des deux?

« Non madame, je ne voulais pas dire cela, je m'en excuse, s'il vous plaît »

Voir sa colère sur son visage me donnait froid dans le dos, mais ses propres mots l'était encore plus, surtout quand elle parla de ma position, de ma place, elle était la deuxième personne que je croisais dans ces lieu qui me disait cela.

Tu es une gourgandine, une fille de petite vertu qui vends son corps à celui qui voudra bien de celui ci. Rappelle toi quelle est ta place, et n'en sors jamais!

Fallait-il que je me fasse à cette idée que finalement, j'allais passer ma vie à faire cela. Me vendre pour quelques pièces. Je tentais de retenir mes larmes, au maximum, mais quand celle-ci fit claquer sa main sur mon visage, alors, les larmes que je voulais cacher se mirent à sortir.
Cette gifle était la première de la vie jusque maintenant. Personne me m'avait donner une correction comme celle-ci ! La main sur mon visage, je me mis à genoux sur le lit face à ma cliente, si je devais maintenant l'appeler ainsi.
Cette gifle fut un fracas dans ma tête de petite fille naïve, je devais grandir, même si je ne voulais pas, faire ce que l'on me demandait même si je ne le voulais pas. Je devais m'excuser auprès de cette femme.
Me tenant droite en face d'elle, j’essuyai mes larmes de mon visage encore rouge de la violence du coup, posa mes mains sur mes genoux et lui présenta mes excuses

«  Je tiens à m’excuser madame pour les fautes que je viens de commettre, ma petite expérience m'excuse en rien, je suis vraiment désolée de vous avoir offensé, je ne voulais absolument pas que cela arrive »

Les mains toujours posée sur mes genoux, j'attendais sa réponse ou une réaction de sa part, je fermais les yeux, prête à recevoir à nouveau une gifle.

Je ne m'étais pas pris de nouvelle gifle mais mes paroles en étaient des biens pire. Je baissais toujours la tête, mes larmes coulaient toujours sur mon visage. Elle était en colère et à cause de moi. Elle avait raison, je ne suis que une incapable. Mais que faire sinon que de recevoir sa colère en pleine figure.

Je sentis le lit bouger. Je leva les yeux, elle s’était lever et allait partir. Partir, mais si elle partait, j'allais me faire punir, même pire que cela. Le couple propriétaire allait se mettre en colère après moi sans aucun doute. Rien que de penser à e qui allait m'arriver, des frissons parcourent l'ensemble de ma chair. Paniquée, je me leva également pour me mettre debout, les mains dans le dos, la tête baissée.

Viens me rhabiller, dépêche toi!

Je courra presque vers elle, pour ne pas non plus la faire attendre, je pris ses vêtements et commença à la rhabiller. Je ne la regardais pas, trop concentrée par mon travail. Mais cela ne pouvait pas m’empêcher de l’écouter étaler sa colère sur mon moi. Je commençais vraiment à croire que j'étais que une incapable, une pauvre fille, qui ne pouvait que pleurer. Je frôlais ce corps, qui a m'a grande surprise m'avait fait un effet que j' n'avais jamais imaginer avoir, surtout avec une femme, et je repensa à sa phrase sur le fait que j'aimais les femmes.

Une fois que j’eus finis de la rhabiller je me mis sur le côté, toujours tête baissée. Mon corps tremblaient de toute part, un peu comme si j’avais froid, mais ce n'était point cela. Je tremblais a cause de mon anxiété, et de mon stress. Mon corps frissonnait alors que mes joues elle étaient bouillante. Je sentais la chaleur montée jusqu'à mes oreilles.

J’avais encore envie de m'excuser, mais je me voulais pas aggraver encore plus mon cas, alors je referma la bouche. Mais je chuchota juste quelques mots à peines audibles

« Je suis vraiment désolée, Madame »

Je ferma les yeux de peur que ma main ne vienne se claquer une nouvelle fois sur ma joue.

Quand cette folle cria encore plus fort. Je ferma les yeux. Oui j'ai pensé folle, car elle me faisait vraiment penser à une folle. Mais je ne reculais pas, je restais sur mes positions les bras le long de on corps nus alors que le sien était maintenant vêtu.
Mes poings se fermèrent. J'étais passer par pleins d'émotions à travers cette séance. La peur, le plaisir, la tristesse, maintenant la colère avait pris possession de mon corps. J'étais colère, tout d'abord contre elle, pour ces parole et ses gestes qui me faisait mal, et me frappait en plein cœur, mais aussi et surtout envers moi, car, je me rendais compte que j'étais que une incapable ne sachant même pas donner du plaisir à une femme.
Oui il est vrai que je ne pensais pas que les femmes pouvait faire cela entre elle, et cela m'avait profondément choquée, mais je ne pouvais pas le cacher, elle m'avait découvrir que je pouvais ressentir quelque chose comme le plaisir avec une femme.

Tu n'as définitivement rien compris à ton rôle au sein du Manoir, c'est affligeant.

Oh si je l'avais compris, mais je ne voulais pas m'en rendre compte. Je ne voulais pas croire que j'étais ici dans cette maison, dans cette pièce, à devenir une catin, pour des gens qui donner de l'argent pour mes fesses et pire encore.

Serre fort mon corset.

Je ne pleurais plus, je pensais, elle me demanda de serrer plus fort son corset. Soudain, une idée me passa par la tête. Cela était à mes risques et périls, car si cette idée ne marchait pas alors je pensais m'attendre à me faire punir comme jamais je ne l'ai été. Mais au point, ou j'en étais, je n'avais plus rien à perdre.

Je me dirigea vers elle, mais au lieu de serrer plus fort son corset, je le défis complément le laissant tomber sur le sol, et d'un geste vif, je me saisie de ses seins. Un dans chaque mains. Je me mis à les masser en pinçant les mamelons de ceux-ci, je les sentis durcir à travers le tissus de sa robe. Mais je sentais également des frissons parcourir mon corps nu.
Je m'aurais jamais penser que j'aurais pu faire cela un jour, mais pourtant je le faisais. Maintenant restait à voir si elle allait aimer ma prise d'initiatives ou pas.

Ma réaction, et ma nouvelle façon d'agir eu l'air de l'étonner un peu. Il faut dire que m’étonnait également,jamais avant, au grand jamais, je ne serai aller chercher la poitrine d'une femme en colère après moi pour l'a lui toucher avec mes mains bien maladroite.

Alors que son étonnement se transforma en questions, je l'écoutais attentivement, je ne voulais pas encore faire un erreur idiote.
Elle n'était que ma deuxième cliente, et le premier comment dire était un porc sans scrupule. Rien que de penser à lui j'avais eu une légère remontée.
Mais pour en revenir à sa question, je pense que avec un autre client mécontent j'aurais fait quelque chose de similaire, pour ne pas me faire réprimander par mes supérieurs.

«  Je suppose que oui madame, je me serai mise à genoux devant lui et j'aurais...porter à ma bouche...son...sa »

Je n'arrivais pas à finir sa phrase, mais je voulais aller au bout des choses, alors je repris

« Son sexe »

Je l'avais dit. J'aurais fait cela pour retenir son client, je me serais soumise à lui, à genoux s'il le fallait pour ne pas qu'il parte. C'est ce que je venais de faire dans un sens avec cette femme. Je suis prête à me soumettre à elle, pour elle sorte satisfaite de cette pièce.

« A tout madame, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour vous satisfaire, le client est roi dans cet établissement madame »

A ces mots, je continua les gestes que j'avais commencé, pendant que les mains de ma cliente étaient toujours sur les miennes. Je pris en bien en compte la dernière phrase qu'elle dit, je mis à masser sa poitrine de fort, mais aussi à pincer ses tétons de manière a les faire durcir, ce qui avait l'air de se produire, mais je ne voulais pas m'arrêter là, je fis glisser mes mains le long de son corps toujours sous ses vêtements et alla me loger sous son jupon. Je posa mes mains sur ses cuisses et alla doucement et du bout de ma langue frôler son sexe, en y déposant un baiser, puis un deuxième et enfin en insérant ma langue entre ses lèvres. Je voulais attendre sa réaction sur ma prise d'initiative.