Nom:Lelièvre Prénom:Maximilien Âge:21 ans Métier:Voleur
Particularités:Ce jeune homme n’a jamais connu les plaisirs de la chair
Votre Histoire
► Je n’ai jamais connu mes parents, et c’est auprès des bonnes sœurs que j’ai été élevé dans la croyance d’un dieu que je ne reconnais pas. J’ai essayé d’y croire, pour être comme eux, comme ceux qui m’ont offert le gite et le couvert, comme ceux qui ont tenté de m’éduquer et de m’offrir un minimum d’instruction. J’ai acquis plus que beaucoup, apprenant à lire la Bible et à écrire quelques mots. Je sais également compter… les pièces dans les bourses qu’aujourd’hui je vole sans scrupule… tu ne voleras point… Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras ni sa femme, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartienne… J’ai fauté, sur deux commandements, et je sais que ce n’est que le début… Il n’y a guère que le commandement sur l’honneur fait à ses parents que je ne trahirais jamais, ne sachant rien d’eux si ce n’est qu’ils sont morts de la peste ou de tout autre maladie ayant fait rage aux alentours de ma naissance. Je suis un miraculé d’après tous, un enfant sauvé de la maladie, plus résistant que beaucoup… Moi j’y vois un fléau plus que le miracle auquel on veut me faire croire.
Je porte le nom que l’on m’a donné là bas… sans qu’aucune explication ne me soit fournie. J’ignore s’il s’agit du nom de mon père, ou même de ma mère… Ou tout simplement si celui-ci m’a été offert pour une raison quelconque. Mais je l’aime, même si j’avoue me sentir plus renard que lièvre.
J’ai quitté le couvent tôt, jeune, à 14 ans, sous le prétexte d’aller apprendre un métier et de devenir un homme respecté. J’ai essayé, j’ai tenté de devenir forgeron… Un rude métier fait par des hommes costauds et endurants. Je ne suis ni l’un ni l’autre. Oh certes, je suis grand, j’ai une fine musculature et j’aurai pu, à force de courage et de persévérance devenir un forgeron… ou peut-être un menuisier, car j’ai tenté cette voie si également… Mais j’ai choisi une certaine facilité, usant de mon charme ou encore de ma souplesse et ma rapidité pour subtiliser bourses, bijoux ou tout autre bien de valeur aux gens riches de passage à la ville.
J’ai gardé malgré tout une véritable reconnaissance envers mon Eglise, et remets une fois la semaine, une partie de mes gains à Dieu et ses enfants.
J’ai entendu parler du Manoir, et traine souvent mes guêtres aux alentours, car je sans que ceux qui s’y rendent ont des moyens élevés. J’aurai pu m’y rendre, prendre un travail en son sein… Mais je ne voulais pas m’y retrouver Mignon… J’ai beau n’avoir jamais encore découvert les plaisirs, je sais, sans avoir besoin d’y goûter, que c’est uniquement auprès des femmes que je souhaite m’assouvir. Et les ragots tournent beaucoup, informant que la moitié des hommes se rendant au Manoir y vont dans le but d’assouvir le péché sodomite… J’aurai pu devenir Rabatteur, mais j’ai une certaine foi tout de même, m’empêcher d’envisager de priver de sa liberté une femme pucelle des rues. Et pourtant, bien que j’ai cette réticence, je me sens attiré par le lieu d’une manière indéfinissable, comme un appel du démon cherchant à me prendre le peu de foi que Dieu a placé en moi.
Qui es-tu vraiment ?
► Portrait moral (caractère , ...) : Je suis un voleur, mais j’ai encore un peu de foi et de loi. Je ne touche pas aux pauvres, à ces gens de la rue fragilisés par les maladies et la pauvreté. Mon éducation religieuse, bien que ma foi soit quelque peu fragile, me garde encore un peu plonger du coté sombre, et m’empêche ainsi d’aller trop loin dans mes travers. J’ai pourtant en moi des pulsions que je ne comprends pas, et j’aime à me refugier auprès des sœurs qui m’ont élevé pour retrouver un calme et une certaine sérénité. Bien que je refuse de l’admettre, étant persuadé du contraire, je me tourne souvent vers le seigneur lors de mes questionnements intérieurs et tente de suivre les commandements de la Bible.
Je ne suis pas pauvre, j’ai de quoi me loger car ma maison est l’Eglise, bien que n’étant pas un membre du clergé. J’ai obtenu de par mon enfance orpheline une reconnaissance de certains religieux qui m’octroient des lors quelques privilèges auprès d’eux.
J’ai, comme évoqué plus haut, un désir pour les femmes, et une certaine curiosité inassouvie que je retiens, souhaitant prolonger mon vœu de chasteté pour celle qui sera ma femme. Mais celle-ci tarde à se montrer et j’ignore si l’appel de manoir ou des filles de la rue ne se fera pas plus fort.
Je parle sans tabou, capable de tout dire, bien que mon éducation n’ai jamais été en ce sens. Le naturel reprend le dessus dès lors que j’ai quitté l’Eglise pour apprendre un métier. La rue a terminé mon apprentissage, et c’est ce dernier qui me définit le plus aujourd’hui.
► Description physique :
Je suis grand, châtain foncé, plutôt joli garçon. J’ai un minois qui peut passer pour angélique, tout comme son revers. J’ai un certain charme, accentué par mon franc-parler. Mon corps est imberbe, musclé avec finesse par mes activités nocturnes. Mes cheveux sont mal coupé, parfois un peu trop longs, et légèrement ondulé. Je m’en occupe moi-même, ne les démêlant sur très rarement. J’aime le coté sauvage qui sont le leur, je trouve qu’ils me vont bien ainsi et qu’ils reflètent parfaitement ce que je suis.
Jai les yeux très clair, tranchant avec ma peau matée par le soleil et mes cheveux sombres encadrant mon visage. J’ai laissé pousser quelques poils autour de ma bouche, formant une petite moustache accompagnée d’un léger bouc. Je manque encore de virilité pour m’offrir une vraie barbe d’homme.
► Divers : (liens éventuels sur le forum : famille, ennemis, amis, etc.) J’ai plein d’idées de rencontres déjà, je contacterai les personnes concernées
Prénom ou surnom :j’ai les deux oui Âge :beaucoup plus que 18 Sexe :oh oui ! Comment avez-vous connu le forum ? :j’y suis Des suggestions vis-à-vis du forum ? Vos disponibilités pour poster :4j/7 Mots de passe X3:ok
Bienvenue parmi nous jeune homme, au plaisir de te croiser puisque nous sommes du même monde toi et moi, tu n'es peut être pas aussi dévergondé que moi mais ça peut toujours s'arranger ça